Les nouvelles technologies, une évolution voulue ou subie au sein de notre société?

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Un développement risqué qui s’impose à nos habitudes de vie.

Les nouvelles technologies bien que répondant à des besoins peut dans certains cas s’imposer à nous, sans que nous le demandions. En créant la voiture sans conducteur, notre société prendre aussi beaucoup de risques qui peuvent avoir des impacts importants. En mettant en place ce type de véhicule, on annonce la fin des voitures avec chauffeurs. On s’expose par exemple à une perte d’emploi massive et subie pour les chauffeurs de taxi. Ce qui peut avoir des conséquences importantes sur l’économie, le taux de chômage, la stabilité du pays…etc.

De plus, la mise en place de ces voitures nécessite une bonne maitrise de sa technologie pour être sans danger. En effet, la technologie a des limites et peu connaître des lacunes ou des défauts de construction qui peuvent avoir des impacts irréversibles. Fait encore plus appuyé si l’utilisateur final ne maîtrise pas l’innovation qui peut ne pas lui être familier, on vise par là le public des personnes âgées. Ce fait a d’ailleurs été confirmé par un accident survenant avec une voiture sans conducteur de la marque Tesla. A ce niveau, on peut aussi se demander du point de vue des assurances comment seront intégrer ces nouveaux véhicules dans leurs conditions de service.

Cette problématique est aussi présente pour les sièges intelligents. En effet, les capteurs présents dans ces sièges relèvent des informations sur notre état de santé. On envoie alors à un service des informations non souhaitées, non maîtrisés sur nous-même. On nous impose de partager ses informations sans demander notre avis ou notre consentement. Nous ne sommes plus maîtres alors de notre environnement de conduite. On subit et fait face à une observation quotidienne qui rends l’intimité inexistante.

On pourrait illustrer ce risque par une citation de Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme », si ces nouvelles technologies s’imposent et ne sont pas maîtrisées elles pourraient très vite devenir néfastes pour l’homme. Il illustre ici le fait qu’il faut faire la différence entre ce qui est « possible » et ce qui est « souhaitable » de faire afin de ne pas se faire dépasser par ce phénomène. Ainsi, le progrès des connaissances n’est pas nécessairement un bien en soi, il peut être une menace s’il est mal gérer ou mal utiliser (comme par exemple avec la création de la bombe atomique). Il faut donc aussi associer à cela des questions éthiques pour ne pas faire de ces nouvelles technologies une utilisation non contrôlée dans le futur.

Conclusion :

Les nouvelles technologies sont donc une vraie révolution pour notre société, elles deviennent de plus en plus indispensables et conditionnent nos habitudes de vies. Permettant de faciliter notre quotidien en répondant à des besoins primordiaux, ces évolutions s’adaptent donc à chacun afin de proposer le service ou le produit adéquate. Les consommateurs sont donc de plus en plus demandeurs de cette modernisation qui rythme leur vie.

Cependant, dans certains cas, les consommateurs ne souhaitent pas ces évolutions et les subissent. Ils ne sont plus maîtres de ce qu’ils utilisent, de ce qu’ils partagent…etc. On leur impose des conditions qu’ils se doivent d’accepter s’ils veulent utiliser le produit en question.

Ainsi, pour répondre à cette problématique il faudrait trouver le juste milieu entre le besoin et le souhait. Réussir à liés ces deux notions de manière égale tout en y associant des principes d’éthiques pour ne pas faire de cette modernisation un moyen de destruction ou néfaste pour la société en général. On pourrait d’ailleurs transposer ce fait à d’autres sujet comme la mise en place des robots…etc