La mucoviscidose
Par Christopher • 5 Décembre 2018 • 2 124 Mots (9 Pages) • 771 Vues
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glycémie d’un individu diabétique →connaît une grosse augmentation
Donc la glycémie entre un individu sain et un individu malade est différente. Un malade aura une glycémie plus importante après avoir mangé du glucide (=sucre). Seulement cette différence ne sera pas brève. Au contraire, elle durera longtemps.
Il est plus facile d’avoir le diabète lorsque notre famille est elle même diabétique :
frère diabétique = 25% de chance de l’être
parents diabétique = 50% ″ ″
vrai jumeau diabétique = 100% ″ ″
Une maladie peut être transmise par les gène des parents. Donc le diabète de type II peut peut avoir une composante génétique. De plus on peut voir que la prévalence du diabète varie en fonction des pays. En effet, en Chine la prévalence est de 5% femme ou homme. Or à Taïwan, cette prévalence est multipliée par 5. Donc la prévalence n’est pas que génétique mais aussi environnementale.
Aujourd’hui, 20 gènes associés à la maladie ont été identifiés. On les appelle les gènes de prédisposition. Certaines de leurs allèles pourront développer la maladie, et d’autres leur seront bénéfiques. On sait que certains allèles de certains chromosomes multiplient les chances d’être diabétique. Donc le gène de prédisposition augmente tes chances d’avoir la maladie mais ne la rend pas certaine. De plus, certains gènes diminuent la prévalence, mais n’assure pas une complète tranquillité de la maladie. Donc un gène de prédisposition peut augmenter ou diminuer le risque d’être touché par la maladie (mais pas à 100%).
Un IMC élevé est en lien avec le diabète. Or on sait qu’il y a de plus en plus de de personnes qui ont un IMC élevé (augmentation en France de 36,7% à 41,6%). Donc ce plan doit aider à restreindre ce nombre de personnes malades en constante progression. De plus on sait que de plus en plus de jeunes ont IMC élevé. En effet en Amérique, un enfant de 12 à 19 ans entre 2003 et 2006 aura presque 3 fois plus de risque de prévalence qu’un enfant du même age entre 1976 et 1980. Or entre la mentalité a changé entre ces deux périodes. Donc on doit changer la mentalité de la population qui est de plus en plus diabétique avec l’aide de ce plan. Ce plan peut permettre d’avoir une meilleure hygiène de vie et prendre moins de poids ce qui diminuerait l’ IMC et ainsi la maladie du diabète.
Conclusion : Le diabète n’arrive pas à réguler l’absorption de glucide par le corps. On peut donc faire attention à sa consommation de sucre. De plus on peut se rendre compte que le diabète a un caractère génétique. Donc, une personne ayant des diabétique dans sa famille aura plus de chances d’avoir cette maladie. Cette prévalence peut être augmentée ou diminuée à l’aide de gène de prédisposition. Seulement cette maladie n’est pas que génétique elle dépend aussi de l’environnement et de l’hygiène de vie. Cette hygiène de vie peut être améliorer grâce à plus d’activités physiques, à une une meilleure alimentation plus saine et équilibrée.
Le Cancer et ses causes :
Il existe beaucoup de types différents de cancers, mais tous ont pour point commun un dysfonctionnement dans le cycle de division d’une cellule.
I – Formations des cellules cancéreuses
Le cancer peut se créer à partir d’une seule cellule, ayant été altéré par de nombreuses anomalies. Si cette cellule n’est pas détruite ou réparée, elle se divisera, créant alors plusieurs cellules cancéreuses. Dans le cas d’un cancer du poumon, par exemple, le caryotype d’une cellule cancéreuses contient plus de chromosomes et certains fragments de chromosomes sont déplacés entre eux. Aussi, le rythme de la division cellulaire pour les cellules saines se fait de façon très programmé et contrôlé. Ce qui n’est pas le cas pour les cellules cancéreuses qui, à force de recevoir des mutations, se divisent de façon incontrôlées, formant ainsi un amas appelé tumeur.
Les mutations à l’origine d’un cancer peuvent être spontanées, c’est-à-dire que le génome peut subir des mutations mais on n’en connaît pas forcément les causes.
II – Les agents mutagènes
L’environnement peut jouer un rôle dans l’apparition du cancer. Un cancérogène comme l’amiante ou le tabac peut favoriser l’apparition d’un cancer. La chance d’avoir un cancer est plus forte quand le corps est exposé à plusieurs agents mutagènes en même temps que à un seul agent mutagène.
III – Le virus Epstein-Barr
Le cancer peut aussi avoir une origine infectieuse. Le lymphome de Burkitt (cancer touchant les lymphocytes) est un cancer qui se manifeste essentiellement dans une partie de l’Afrique, là où le paludisme et le virus Epstein-Barr sont aussi présents. On en a donc conclu le lymphome avait une origine plurifactorielle ( ce n’est pas parce qu’un individu a le virus qu’il développera forcément le cancer, mais si cet individu et aussi atteint du paludisme, il aura encore plus de chance de l’avoir).
Comme pour le cancer du poumon, le caryotype d’un lymphome présente des fragments de chromosomes qui se sont déplacés.
Pour conclure, les mutations à l’origine des cancers peuvent survenir spontanément, mais l’environnement peut favoriser l’apparition de ces mutations, tout comme l’exposition à un virus.
La lutte contre le Cancer
Maladie qui est caractérisée par la présence d’une (ou plusieurs) tumeur formée à partir de la transformation par mutations génétiques d’une cellule initialement normale.
Exemple de cancers
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Il atteint plus généralement les femmes âgées entre 50 à 79 ans. Ce cancer est provoqué par un facteur interne. En 2010, sur plus de 11 000 décès en France, le cancer du sein est la cause première de décès chez la femme. Pour le prévenir, les pouvoirs publics ont donc décidé de mettre en place un dépistage du cancer du sein en proposant tous les deux ans aux femmes âgées entre 50 et 74 ans une mammographie (examen radiologique des seins) gratuite. Cette sensibilisation envers le public est un succès, on peut voir que
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