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L'organisation politique dans les sociétés africaines

Par   •  26 Septembre 2018  •  1 478 Mots (6 Pages)  •  546 Vues

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ces termes qui montrentl’organisation politique dans la société anétatique nous étudieronsàprésent les sociétésà pouvoir institutionnaliser en (II)

II – LESS SOCIETES A POUVOIR INSTIYUTIONALYSES

Cette analyse sera faite à travers la Chefferie (A) les Cités-Etas (B) et le royaume en (C)

A – La chefferie

Elle peut être définie comme une « unité territorialegénéralementréduite et peu structurée qui fonctionne sous l’autorité d’un chef ».

L’Afrique était couverte par ces petites Etats dont les populations sont réduites. Ceci est le premier critère significatif.

Elle a aussi quelques lignages dans un village ou regroupe plusieurs villages dans le cadre de l’unité territorialequalifié par les premiers explorateurs de « Canton ». Le chef est choisi dans une famille prédominante. Ainsi est le deuxième critère. Ici l’accent n’est pas mis sur l’existencedes lignagesmais plutôt sur celui du chef qui est privilégié.

Et en fi pour un troisième critère le chef n’as pas encore en sa possession les puissant moyens de coercition qui caractérise les royaumes. Son ‘autorité ne justifie pas la mise en place de structures complexe. Elle ne dépasse passe pas un territoire personnellement administré par le chef et se divise dès qu’elle devient difficile. Par exemple la civilisation Swahili et la région Nyumouezi, Béna, namouanja … ne comporte pas en permanence quelque milliers de sujets. Les Nyakoussa instaurent un système selon lequel les chefferies sont divisées chaque 30 an automatiquement. Ce sont sous ces termes que se rassemblaient sous terme de chefferie les nombreuses sociétés politique, les petits Etas Africain.

C – Les cités-Etats

La différenceparait souvent étroite entre chefferie et cités-Etat. Ainsi les cités-Etats pouvant être définiscommue des sociétés politique qui s’organisent autour d’une ville, une capital tout en s’étendant dans la campagne environnante et qui sont Independent des autres. Sauf à se soumettre à l’homogène de l’une d’entre elle. La caumunaté territorial est très homogène. La cité-Etat regrouperait desélémentsethniques divers et créerait des liens qui suppléent à ceux d’une parenté réelle. La ville donne son nom à ses habitants et ceux-ci pour situer les uns para port aux autres adjoignent leur nom de quartier et là il n’y’a pas de nom de famille proprement dite. Ainsi le chez pour son appellationadjoindra son nom à celui de son prédécesseuret il se se prévaudra de l’ancienneté de la dynastie que de celle de l’institution elle-même.

Parfois le rituel d’intronisation mettra l’accent sur la rupture cde la parenté ainsi le Miarre des kotoko « meurt et renaît » et cette épreuve donne naissance à des magistrats romains est a l’origine de son pouvoir et dans la succession ce ne pas les épouses qui donne l’héritier mais plutôt les concubinages la plus part les esclaves et par la aucune famillen’est privilégiée.

La cité a un culte collectif (par exemple un animal tutélaire qui vit dans les rempare et figures n’ancêtre commun ou Dieux créateur, lié au siège royal). Et une administration élaborée relativement. Des cités-Etas ce genre on existés en Afrique ainsi en était des cités-Etas YOROUBA ou des cités-Etats ASHANTI ou l’administrationde l’Etat se confondait avec celle de la capital. L’autorité s’exerçait sur des chefferies subordonnées qui reproduisait parfois à petits échellel’organisation central.

C – Les royaumes

L’expression déjà est plus facileencore que la présenced’un roi ne soit pas motif suffisant pour user du terme.

Le royaume a les caractères suivants :

Il regroupe plusieurs tribus ou ethnies et ne se limite pas au cadre de la famille large ou d’uneassociation entre lignage

Ensuite il dispose d’uneadministrationappréhendant l’ensemble du pays et qui, assurent a de degré divers la gestion de l’Etat. Le roi est dans la nécessité de déléguer des prérogativesà des fonctionnaires qui les exercentà son nom.

En fin il dispose d’une autorité centrale très forte et de moyens de coercition et c’est lui qui donne les ordres dans la société. Par exemple le royaume de CONGO celui des MOSSI ou de L’EMPIRE MOSSI de la confédération ASHANTIE. C’est que tous ces « royaume » sont plus ou moins centralisés ; tantôt ils apparaissent comme des confédérations de petits Etat fortement unitaire et politiquement unifiés et très homogène. Les sociétésétatiques africaines sont presque toujoursanarchiques. Le roi est le pivot essentiel des institutions de la société.

En définitive si l’Afrique a une organisation politique force est de dire qu’il y a des impositions de règles dans certaines sociétés. Aussi il est impératifqu’elle soitrespectée par la société.

Ainsi dans ces sociétés les règles adoptées sont-elles adéquates ?

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