Histoire de la psycholoogie
Par Plum05 • 9 Novembre 2018 • 2 310 Mots (10 Pages) • 564 Vues
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Descartes fait déjà des liens entre des évènements de la petite enfance et des émotions que l’on peut avoir plus par rapport à certaines situations, il attache une grande importance au vécu de l’enfant et aussi du nourrisson. Ce sont des évènements déterminants pour lui et il a même étudié dans les premiers la relation entre la mère et son fœtus. Descartes a perdu sa mère très tôt et il a cru qu’il l’avait perdu quelques jours après sa propre naissance mais en réalité c’est par le bébé d’après qu’elle est morte, il l’a donc connu 11mois environ. Il s’intéresse donc à la relation mère-fœtus car il pensait que sa seule relation avec sa mère était quand il se trouvait dans son ventre.
c) Le traité des passions de l’âme
« La philosophie que je cultive n’est pas si barbare, ni si farouche, qu’elle rejette l’usage des patients, au contraire c’est en lui seul que je mets toute la douceur et la félicité de cette vie » « je ne suis point de ces philosophes cruels qui veulent que leur sage soit insensible ». Son projet → « il n’est pas d’expliqué les passions en orateur ni même en philosophe moral mais seulement en physiciens »
Actions du corps qui correspondent aux →passions de l’âme
3)
a)
b) Locke et l’associationnisme
« Il n’y a rien dans l’esprit qui est été dans les sens »→grâce à l’expérience
Il faut désacraliser la pensée car elle ne vient pas de Dieu : c’est un phénomène naturel et Locke construit une science mécanique pour l’esprit→L’associationnisme, il accorde une grand place à l’habitude et à la coutume qui sont essentielles dans la formation de nos idées.
II – Naissance de la psychologie comme discipline autonome
1) Du côté allemand, l’aufklärung
- Leibniz (1646-1716) : Il disait que dans chacun de nous il existe une infinité de perception, avec des petites perceptions insensibles dont on n’a pas cs car il n’est possible d’avoir cs de tout ce qu’on perçoit. On peut les oublier : « Elles auront même leur tour un jour pour contribuer à quelques faits notables »
- La psychologie de Christian Wolff : il publie deux ouvrages sur la psycho empirique et la psycho rationaliste en 1732 et 1734. C’est un des rares philosophes à enseigner à l’université et selon lui la psycho empirique a pour projet de réunir des faits d’observations intérieurs et extérieurs. Cherchant à établir une méthode scientifique, elle se fonde sur des calculs et des mesures→psychométrie : elle désigne les différentes techniques permettant de mesurer et de contrôler les mesures effectuées dans le domaine de la psychologie. Elle est développée pour évaluer les performances d’ordre intellectuelles et elle permet également d’étudier les paramètres qui constituent la personnalité (émotion, affectivité et la relation à autrui). Pour parvenir à ces mesures elle a recourt à l’arithmétrie et les calculs mathématiques. Elle doit découvrir les lois selon lesquelles s’exercent les facultés de l’âme. Elle doit déterminer à priori sans recourir à la réalité empirique, ce que sont les facultés de l’âme et pourquoi elles sont comme ça dont l’instrument est la raison. Les deux psychologies sont complémentaires, s’enrichissent et peuvent même s’aborder dans une certaine unité.
- L’esprit des lumières et la maladie mentale
C’est possible grâce a une évolution de la maladie mentale ;
- Sydenham : s’inspire de wolff et pratique un empirisme rationnel où l’expérience est guidée par la raison. Grace à sa démarche il met de l’ordre dans les maladies notamment grâce à la nosologie : partie de la médecine qui étudie les critères qui servent à définir les maladies afin d’établir une classification. Il ne cherche pas une cause lointaine mais au contraire une cause immédiate pour intervenir à ce niveau. En ce sens son modèle causaliste est mécaniste→il faut mettre en lumière l’enchainement des causes et des effets qui produisent un symptôme. « la médecine devient une affaire d’état et échappe aux entreprises privés et à l’église ». En France et dans toute l’Europe, on crée des hôpitaux et des hospices ce qui conduit à l’enfermement.
- L’homme romantique
L’Homme est un individu, un sujet qui n’est plus soumis à l’ordre de la transcendance divine. La raison, la cs individuel ne peuvent devenir des objets d’études que si l’Homme devient autonome et source de lui-même. L’esprit des lumières et universalisante et libératrice. Donc aucune place dans la société ne peut lui être assignée par avance car l’individu est libre dans sa naissance.
- Romantisme allemand et philosophie de l’incs
- Arthur Schopenhauer (1788-1860) compare la cs à la surface du globe terrestre et l’intérieur c’est l’incs. L’homme est mue par des forces qu’il ignore et dont il a peine cs. Il distingue l’instinct de conservation et l’instinct sexuel. L’Homme n’est pas l’auteur de sa volonté. On parle de pessimisme.
- Friedrich Nietzsche (1844-1900) Humain, trop humain ; le gai savoir ;
Il est convaincu que l’Homme se ment à lui-même plus encore qu’il ne ment aux autres et que ce dont il n’a pas cs fait partie de ce qui le constitue dans son essence.
« Le psychologue doit chercher à mettre au jour ce que les gens veulent signifier plutôt que de s’attacher à ce qu’ils disent et à ce qu’ils font, ce n’est que la surface d’une sphère de compréhension plus profonde et décisive ». « l’incs est un réservoir d’émotions et d’instincts confus […] c’est le lieu d’une réactualisation des étapes antérieures par lesquelles est passé l’individu et/ou l’espèce ». Il dénonce le mensonge de la cs et s’élève contre ce mensonge. En occident on se fourvoie à survaloriser la cs. Il considère que la cs est la dernière évolution et la plus tardive, la plus inachevé et par conséquent ce qu’il y a dedans est moins achevé et de moins fort.
- Les romantiques et le magnétisme animal
- Franz anton Mesmer (1734-1815) flux
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