Utopie français

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Ils ouvrirent les portes, les portes étaient électriques et je vis dans le prolongement de l’ouverture des portes, des petites maisons toutes alimentés en électricité. Cela fut étonnant. Cela était indéniable, chaque maison était recouverte de deux panneaux solaires ainsi que d’une petite éolienne chacune.

Les cases sont faites de bois, de matériaux recyclables et les toits de feuilles soigneusement tressées. Le village ne semble pas très riche, mais l’écologie y était présente avec tous types d’énergie.

Maui m’interpella et nous montra à Marcus et moi qui selon lui est la plus belle chose qu’il a pu faire dans ce village, qui était la réutilisation des déchets pour en faire du compost. Son village est constitué de plus de trois cent cinquante cases uniformes, alimenté chacune en eau courante ainsi qu’en électricité. Le chef nous expliqua dans l’enceinte de ses murailles il y avait les maisons des habitants mais aussi des espaces verts, ainsi tout ce qu’ils mangeaient étaient bio. On le voyait,

le chef était fier de son village, fier de ce qu’il a construit. Le chef partit et nous étions seul dans le village

Pendant que je traversais le village j’entendais de nombreux rire, festifs qui montraient le bonheur des habitants.

Alors que j'arrivais sur une place entourée de palmiers, je les voyais. Ils avaient bonne mine, tous riaient aux éclats, les plus jeunes jouaient entre eux, d'autres plus âgés couraient. Les adultes parlent, aucun n'est exclus. Noirs, blancs, tous s'entendaient à merveille.

Ils me fixèrent, et m'invitèrent à me joindre à eux. Je me présente brièvement, et l'un d'entre eux fut Maui, il insistait encore une fois pour me faire visiter certains bâtiments, situés plus loin sur une colline rocheuse. Il m’expliquait que leurs édifices se situent au loin pour ne pas endommager leur écosystème, et protéger la faune et la flore de cette forêt. Surpris par cette révélation, je continue et le questionne. Je luis demandais quelle était l’utilité de ces structures. Il me n’en disait pas plus mais il me disait que là-haut, il y aurait moyen de construire un bateau ou même de réparer mon voilier. Un instant de satisfaction vint en moi ainsi un nouveau regard vers le monde pour moi et Marcus ; nous pourrions enfin reprendre notre course

Ainsi, j'apprenais que ce qui se présente comme des problèmes majeurs chez moi n'existais pas chez eux. L'argent, tant convoité dans le monde, n'existais pas. Pas d'argent, pas de crise. Pas de crise, pas de pauvreté. Le travail non plus n'existais pas. Les tâches se faisait tous ensemble, comme s'il s'agissait de bénévolat. Et alors que j'abordais le sujet de la religion, il me dévisagea longuement. Leur religion ne met pas en scène un dieu quelconque, maître de l'univers et créateur. Non, leur religion, si on pouvait l'appeler ainsi, est tout simplement de respecter la forêt et ce qui les entoure.

Je ne pouvais que m'émerveiller devant toutes ces révélations. L'argent, le travail, la religion, toutes ces choses qui provoquaient tant de morts dans le monde entier, tout ceci n'existe pas ici, afin de préserver l'harmonie que ces hommes égaux entretiennent avec la Terre. Tous étaient honnêtes, tous étaient nécessaires au bon déroulement de la vie du village.

Leurs édifices étaient simples, sans aucunes marques de richesse, de luxure ou même de folie. Non, ils étaient simplement faits de bois et de feuilles, avec une porte, quatre murs et quelques fenêtres. Leur science n'était certes pas très développée mais elle était suffisante. Il n'y avait aucune richesse, aucune pauvreté. Non, ces gens vivaient sobrement, dans la paix.

Ce monde, égalitaire, splendide, suffisant, n'étaient qu'un rêve aux yeux de tous les habitants de cette planète. Seuls ces quelques individus le vivaient pleinement. Ceci était le monde parfait, qui fait tant de convoitises..."