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SUR UNE SITUATION DE LA VIE QUOTIDIENNE

Par   •  14 Septembre 2017  •  2 203 Mots (9 Pages)  •  1 012 Vues

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Ma collègue particicpe à la toilette du haut et du bas, à l’habillage et la mise en fauteuil.

LA TOILLETTE :

J’ installe mon chariot près de moi. Le nécessaire de toilette est soigneusement apportés par ses enfants. Mme C a une peau très fragile et nécessite des produits de toilette adaptée à sa peau (savon, soin pour le visage, parfum et eau de cologne ). Je peux faire la toilette au lit de Mme C. Elle aime beaucoup que je commence sa toilette par son visage avec un gant. Elle manifeste que ce geste est important, car elle m’explique qu’une nouvelle journée commence et que ce geste la rassure. Aussi, son dentier est nettoyé après un lavage de dent. Je luis demande de m’aider pour retirer le haut de sa robe de nuit. J’accompagne mes gestes par des explications. Elle est souvent aidante et elle n’est pas opposante. Je la sollicite et je la stimule dans les actes à se

mobiliser. Je n’oublie pas de l’encourager. Je lui fais sa toilette du haut, car sa protection n’est pas souillée. J’effleure sa peau avec un gant de toilette savonné sur son corps, ensuite ses 2 bras. Afin que je puisse laver le dos, je demande de l’aide a ma collègue de la tourner sur le côté non hemiplégique de Mme C. Après avoir terminé, et bien rincé, je la préviens que nous allons la remettre sur le dos. Je suis attentive au moindres rougeurs, si c’est le cas, je préviens l’infirmière à la formation d’une escarre. Pour éviter une escarre j’effleure la peau avec l’huile d’amande douce (talon, coude, épaule, sacrum). Le haut du corps est bien séché à la serviette, je peux maintenant lui mettre son habit du haut du corps pour ne pas qu’elle ait froid et protéger son intimité. Je change l’eau et la cuvette, car je vais lui laver les parties intimes et ses 2 jambes. Avec l’aide de ma collègue, je lui retire son filet avec sa protection. Je lui demande toujours son aide pour qu’elle accompagne son corps au retournement pour éviter qu’elle soufffre de ses douleurs. Je met des gants pour faire la toilette intime. La serviette et le gant de toilette doivent être aussi changés. Je lui lave les parties intimes et je sèche bien avec ma serviette en tapotant surtout les plis de la peau.

Je lui lave les fesses et je reste attentive au niveau de la peau, car elle est alitée et en fauteuil roulant. Avec ma collègue, nous lui mettons une protection adaptée avec un filet. Je recouvre son corps avec une serviette si nécessaire pour son intimité. Une fois lavée, je l’informe que nous allons procéder à son transfert du lit au fauteuil. J’enfile la jupe avant le transfert et je réajuste la jupe après l’avoir transférée sur son fauteuil. Mme C a encore ses facultés pour choisir ses propres vêtements et s’habille avec des tenues classiques. Elle aime bien mariées les couleurs et le style du vêtement. Elle est très coquette. Elle aime beaucoup porter des pantalons avec des chemisiers de couleur. Je lui explique la façon dont nous allons procéder, afin de ne pas créer chez elle un sentiment d’insécurité, mais toujours instaurer un dialogue. Lorsqu’elle est transférer sur son fauteuil, je lui enfile ses chaussons. Je me met à sa hauteur pour qu’elle puisse me regarder en face et montrer mon attention. Je lui informe que je vais la coiffer et je lui demande si elle désire que je la parfume. Mme C ne se maquille pas. Je la questionne si tout va bien et si elle a d’autres besoins. Je l’informe que mon accompagnement pour la toilette est terminé. Je range mes accessoires pour la

toilette et je réfectionne son lit. Pendant que Je change les draps et les alèses si nécessaire. Elle aime bien rester dans la chambre lorsque je réfectionne son lit. Je dialogue avec elle sur divers sujets qu’elle apprécie (ses enfants).

Je l’informe que je vais l’accompagner maintenant dans la salle à manger pour le repas. Elle est très contente, car elle sait que nous parlons discuter tout le long du repas.

LE REPAS :

Elle arrive dans la salle à manger où son couvert est déjà prêt. Elle boit dans un verre plastifier seule, car elle maintient pas bien son vert. Je lui met une serviette pour ne pas qu’elle se salisse. Elle mange beaucoup mixé pour ne pas qu’elle fasse fausse route car elle a des troubles de déglutitions. Je l’encourage peu a peu pour qu’elle prenne sa fourchette et je lui parle toujours pendant le repas. Je la serre en petite quantité, c’est plus adapté a son handicap et qu’elle ne se décourage face à la quantité de nourriture mise dans son assiette. Je lui redemande si elle souhaite d’autre légumes avant de commencer le dessert. Mme C aime beaucoup les produits laitiers et les fruits que je luis épluches . Je verse le contenu de son yaourt dans une petit assiette pour qu’elle puisse continuer à manger seule. Je l’encourage toujours dans ses prises initiatives

lors du repas. Aussi, je m’assure qu’elle boit suffisamment. Après avoir terminé son repas, je lui demande si elle a bien mangé et si elle avait une autre demande.

ANALYSE CRITIQUE

Lorsque je suis arrivée dans la maison de retraite, Mme C était déjà résidente. J’ai posé des questions à ma référente concernant l’accompagnement. J’ai appris à connaître ses habitudes et son rythme de vie. Parfois, au début de mon accompagnement, ses angoisses et ses cris me déstabilisaient. Je l’accompagne dans divers activités (chorale, jeux, journal) pour briser la solitude. J’ai aussi essayer d’installer un climat de confiance en dialoguant. J’ai bien atteint mes objectifs. Je faisais la toilette de MME C seule, dans son lit. Je lui ai appris à ce tourner seule avec l’aide des barres de sécurité de son lit.

Avec mon accompagnement au repas, J’ai beaucoup dialoguer et stimuler Mme C. Elle a réappris à manger seule. alors qu’a mon arrivée, je luis donnais son repas. Avec ces 2 moments de la journée, j’ai appris a connaître la vie de Mme C. J’ai suivis l’état de sa douleur au toucher avec les infirmières et nous avons changé son traitement. J’ai du m’adapter pendant toute sa période de son évolution. J’ai du faire face aussi a des pleures et des signes de découragements, car elle me disait

que « sa ne servait a rien ».

J’étais très heureuse qu’elle est retrouver une certaine autonomie. Avec ma persévérance et ma patience, ma résidente a beaucoup évoluer dans son propre comportement. Elle était moins agressif et se plaignait beaucoup moins.

CONCLUSION

La toilette et le repas

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