Peut-on tuer une idée?

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qu’on voudrait l’oublier entièrement et non pas s’en rappeler grâce à différentes traces et donc il est impossible d’oublier définitivement une idée. Par tout les moyens possibles, on s’en souviendra toujours à un moment ou un autre. C’est pourquoi il est impossible de nous sortir une idée de la tête une fois qu’elle y est entrée, nous auront du mal a la faire sortir.

Enfin, si on voudrait absolument la tuer, il suffit de ne pas la propager. En ne la propagent pas, il y aurait plus de chance de vite l’oublier. Par contre, si cette idée a déjà fait le tour du monde il sera beaucoup plus difficile de l’oublier car elle sera l’œuvre de critiques ou même de la une des journaux et donc comme je le disais dans le paragraphe ci-dessus il y aura toujours des traces écrites ou encore orales pour s’en souvenir. Si il existe une idée «A», elle contient forcément son contraire, comme dans la pièce de théâtre, où T.I.N.A. nous explique qu’elle est justement cette idée «A» et que si elle venait a disparaître ,a être tuer ou a être victime d’un décès quelconque,on se souviendrait juste de son idée mais pas d’elle-même (Margaret Thatcher). En bref, mal grès la perte de la personne qui a révolutionné le monde avec son idée, on garderait bien sûr l’idée mais on oublierait très vite cette personne.

Mais dans un second temps, on peut dire que oui, on pourrait tuer une idée car…

D’abord, si on le voudrait, on pourrait affaiblir l’idée, jusqu’à ce qu’elle disparaisse entièrement. Une idée peut complètement disparaître, a partir du moment ou la personne meurt, ou encore due a la censure de cette idée. En somme, affaiblir une idée, n’est évidemment pas si simple on devrait s’y prendre par exemple, en représentant l’idée comme un symbole. Une fois l’idée symbolisée, on peut finalement l’anéantir .

Ensuite, a partir du moment ou on retrouve un groupe social, c’est à dire, un groupe qui va être lié par les idées, par la culture et l’économie et qui choisissent d’imposer leurs règles, on peut fournir des idées en matière de politique et d’opinion culturelle. Dans la pièce de théâtre, le meilleur exemple est bien sûr celui de T.I.N.A. qui a un aspect politique et économique. C’est donc une idéologie. Une idéologie , qui je le rappelle est un ensemble d’idées et de pensées philosophiques, sociales, politiques, morales,religieuses, propre a un groupe ou une classe sociale ou encore à une époque. Donc, c’est une sorte de doctrine qui influence les comportements individuels et/ou collectifs. Une autre façon de définir le terme idéologie, serait d’y voir une doctrine politique, qui propose un système unique de représentations du monde qui est accepté sans aucune critiques.

Pour conclure, tuer une idée n’est pas vraiment facile comme nous avons pu le constater, mais il y a certains moyens pour tenter d’y aboutir. La pièce de théâtre « rumeurs et petits jours » démontre bien la question « Peut-on tuer une idée ? », mais il y a encore beaucoup d’autres exemples qui démontrerons tout ce que nous avons pu voir au cours de ces paragraphes. D’un côté, on pourrait tuer une idée car elle ne serait qu’éphémère si elle ne c’est pas encore propagée, mais elle pourrait aussi être très vite oublié. D’un autre côté, on ne pourrait pas tuer une idée, car même si on oublie la personne qui l’a eu,

l’idée, importante ou pas, négative ou positive, a eu un impact sur notre monde, je dirait même une influence sur nous, elle a même peut être été l’objet de critiques, de discussions, d’hypothèses, de réflexions,… et tout cela, peut importe l’idée. En ce qui concerne mon avis sur cette question, on ne pourrait pas tuer une idée, car si je prend l’exemple d’un fait marquant qui a eu lieu il y a des années et qu’on s’en rappelle, cela voudrait dire qu’elle nous a marquée ou encore choquée. Peut-être que justement nous ne pensons plus a la personne qui a eu l’idée, mais nous nous disons que ce n’est pas grave de ne plus se rappeler de la personne, tant que nous nous rappelons de l’idée… Bien sûr, mon avis ne sera pas partagé par tout le monde, mais pourquoi empêcher de faire justement de cette question un nouvel objet de critiques et de réflexions ? Alors, sera-t-il possible un jour de tuer une idée