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La conjoncture économique, Circuit économique et Comptabilité Nationale.

Par   •  3 Juin 2018  •  1 259 Mots (6 Pages)  •  564 Vues

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- « Moyen de paiement détenus par agents non financiers et parmi leurs placements ceux qui sont susceptibles d’être transformés aisément et rapidement en moyens de règlement sans risque important de perte en capital » cf. Genron B.

Agrégats monétaires et de déplacement -> classé selon leur degré de liquidation de M1 (le + liquide) à M3 (le – liquide)

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La création monétaire

La planche à billets ?

Plusieurs types d’acteurs interviennent :

- Banques centrales 2nd degré

- Banques centrales/ banques 1er rang

- Trésor public

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La création monétaire par les banques commerciales

Des agents à capacités de financement et d’autres à besoins de financement.

La transformation bancaire = banques font intermédiaires entre agents qui déposent à courts termes et ceux à longs termes. Plus de dépôts que de retraits -> pas de risques. Intermédiation bancaire -> banque en tant qu’intermédiaire, elle ne créé pas.

Les crédits font les dépôts

- Les banques commerciales ne sont pas de simples intermédiaires entre déposants et emprunteurs.

- Les banques prêtent davantage que ce qu’elles ont en dépôt

- Ces crédits accordés se transforment en nouveaux dépôts quand les bénéficiaires les utilisent

3 Situations :

- Circulation monétaire

- Création monétaire

- Destruction monétaire

COURS A RATTRAPER

SECTION 3 – Analyse de la conjoncture économique

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Les déterminants du PIB

En repartant de l’équation d’équilibre emplois-ressources

P+M = CI + CF + FBCF + VS (variation de stock) + X

D’où :

P-CI = CF + FBCF + VS + (X-M)

PIB = CF + FBCF + VS + solde commercial

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La consommation finale

En 2014, cette consommation finale des ménages croît : + 0,6 %, mais faiblement. Taux d’épargne : 15,1 %. En 2015 : même tendance, la CF contribue favorablement à la croissance du PIB. LE solde commercial réduit le PIB, car il y plus d’importations que d’exportations.

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La formation brute de capital fixe

2014 : Recul de l’investissement : -1,2 % (après -0,6 % en 2013)

Mais hausse de la FBCF des SNF : +1,7 % (après +1,2 % en 2013)

Globalement il contribue au PIB mais faiblement (il ne contribue plus négativement).

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Le solde commercial

En 2014 : les importations augmentent plus vite que les exportations.

Pas positif à la contribution au PIB, très instable.

Si notre monnaie est plus chère que celle des autres, notre marchandise coûte plus chère.

Si notre monnaie est moins chère que celle des autres, notre marchandise coûte moins chère.

Deux facteurs positifs pour l’exportation : l’euro est relativement plus faible, prix du pétrole. Mais cela n’est effectivement pas favorable, car les clients pour l’exportation sont les autres pays européens qui ont la même valeur de monnaie.

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La variation de stock

Quand les entreprises font du stock qu’elles espèrent vendre plus tard. En 2014 : les entreprises augmentent leur stock. C’est une variable cyclique, qui suit la conjoncture, s’il y a de la croissance les entreprises vendent leur stock. Variation de stock contribue positivement au PIB. Mais si des entreprises stock c’est qu’elles ne vendent pas. C’est une variables très ambigüe, parce qu’il ne faut pas qu’elle dure.

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L’emploi

Taux de chômage en France : 10,3 % en 2015

10,1 % en 2014

Le taux de chômage de la France est en dessous de la moyenne de l’UE. Mais moyenne tirée vers le haut par des taux de chômage très élevés (Portugal : 14,1 % ; Grèce : 27 %).

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Inflation / déflation

Inflation → Hausse durable générale des prix.

Taux d’inflation en 2014 en France : 0,5 %. En 2015 : 0,1 %

Déflation → baisse durable et générale des prix. Déflation mauvaise car si les prix baissent, les consommateurs auront tendance à reporter leur achat en attendant que les prix soient le plus bas possible, dans ce cas il n’y a pas de consommation et les prix continuent de baisser. Si les couts de production restent les mêmes mais que les prix de vente baissent, il n’y a pas de marge commerciale pour les entreprises. C’est le cercle vicieux de la déflation : déflation et récession

Désinflation → ralentissement de l’inflation.

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