Evolution du commerce mondial
Par Ramy • 9 Mai 2018 • 1 272 Mots (6 Pages) • 626 Vues
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de la mondialisation : ex des droits de douane (on ne taxe pas la valeur faciale du bien importé mais aussi ce qu’il y a derrière : biens intermédiaires exportés par le pays national)
échanges intra-branches, contradiction réelle (et pas seulement apparente), contre la théorie traditionnelle de Ricardo (n’explique qu’une partie infime du commerce international): montée des échnges de biens similaires différenciés (2/3 du commerce européen, surtt vertical). Commerce intra-branche (vertical : mm usage des produits ms qualités différentes) VS commerce intra-branche (horizontal : mm qualité ms différenciés du point de vue des consommateurs, variété.) Indicateurs : à la douane, nomenclature, biens de mm catégorie => voir écarts de prix. Si >15% commerce intra-branche et biens différenciés verticalement. biens de mm catégorie dont écart de prix <15% commerce intra-branche et biens différenciés horizontalement. Prix proches => mm qualité et prix éloignés => différence de qualité. Overlap trade (commerce qui se chevauche), indicateur du commerce intra-branche => indicateur de Balassa : Xki – Mki / Xk+Mk si proche de 0, alors X=M (à peu près) => commerce intra-branche important. Relation entre échnges intrabranche et pdn à l’étranger : diversifier l’offre pr les entreprises et adapter caractéristiques des produits à la demande finale.
échanges intra-firme: entre maison mère et filiales des FMN, 1/3 du commerce mondial, intra-firme vertical : maison mère réalise des biens intermédiaires et filiales le bien final / intra-firme horizontal : spécialisation des entités par variété. Csq : ½ du commerce sont à des prix administrés.
échanges de services (caractéristique du service : production et consommation simultanées) (ntic par ex) : à la base considérés comme nn échangeables, théorie du déversement , optimiste (emplois perdus par l’industrie ds les 50s avc taylorisme récupérés par services) Mm si loi de Baumol, services affichent gains de productivité plus faibles, ms augmentent qd mm. Hyp de base : Krugman, services nn échangeables (nn délocalisable) distribués proportionnellement à la demande émanant des territoires // services échangeables (délocalisables) concentrés géographiquement (consommateurs desservis à distance) en France, 30% de services délocalisables (potentiellement). Indicateurs : données géolocalisées des emplois (indicateur de gini) (si le service est produit plus qu’il est consommé sur un territoire => exporté et inversement => importé)
Les IDE moteurs de la M°
IDE, 3 composantes : => Stock des IDE indicateur d’interdépendance des économies
achat / investissement direct en capital (a pr objectif le contrôle de la pdn, caractère de LT) => différent de l’invest de porte feuille
prêts intragroupes (prix et taux internes)
bénéfices réinvestis
IDE concentrés sur qqes pays dvpés et de plus en plus sur pays émergeants et en dvpt. Suivent évolutions des cours boursiers (chutent après bulle internet et crise éco et financière) :
Car IDE par deux possibilités :
Investissement Greenfield => IDE par création de filiale
Mais la plupart dans pays dvpés se font par fusions- acquisitions ; rachat de capital existant d’entreprises (valeur de l’acquisition = cours boursier)
De 90 à 2008 :
IDE multipliés par 8.5 (croit plus vite que commerce mondial mm si son flux est inférieur)
Commerce mondial multiplié par 5
Prdn mondiale multipliée par 3
Globalisation financière
Globalisation financière (nvelle composante de la mondialisation) : invest de porte feuille : firmes placent ds les firmes étrangères sans contrôle de la pdn / 80s : déréglementation (désintermédiation/décloisonnement) des marchés => facilitent implantations à l’étranger / finance au profit de l’IDE.
Technologie et connaissances
Diffusion des TIC => décuplée avec NTIC, émergence de l’économie du savoir ou de la connaissance, exploitation de la connaissance ou coopération technologique (ancienne), depuis 90s nouveauté : recherche et développement (production de la connaissance) => moteur de l’innovation et compétitivité hors coût (R&D au début nationale et déploiement uniquement des fonctions de pdn à l’étranger, ajd 30% des dépenses R&D aussi dans filiales étrangères limitées aux pays émergents et PED : transferts de savoir-faire, cession de licences, dépôts de brevets..)
Les migrations internationales
Composante la plus restreinte (celle qui varie le moins avec le temps) par rapport aux autres composantes. Mais paradoxe : cette composante est la plus coûteuse de toutes (épargne que les migrants renvoient chez eux, flux de compétences)
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