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Eco Chomage Emploie

Par   •  26 Mars 2018  •  1 833 Mots (8 Pages)  •  401 Vues

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- Une insuffisance de la demande

- Analyse Keynésienne

La demande effective est celle qui s’adresse réellement aux entreprises et qui va déterminer le niveau de l’emploi pour Keynes. Chaque entrepreneur va anticiper la future demande effective et fixer un niveau d’emploi. Si ce niveau de l’emploi est inférieure au nombre d’individu qui veulent travailler, on constate une situation, pour Keynes de chômage involontaire. Pour contrer cette demande insuffisante, l’Etat peut mettre en œuvre une politique conjoncturelle de relance pour stimuler la demande globale.

↘ Salaire = ↘Conso = ↘D.effective ↘=D.anticipatrice = ↘ emploi

C’est plan de relance ont un coût très élevée pour l’Etat. Face à son endettement actuel ces plans sont aujourd’hui difficiles à mettre en place.

- Taux de croissance et emploi

La croissance et l’emploi sont deux donnés macroéconomiques corrélées. Pour les Keynésiens le chômage est la conséquence d’une faible croissance. Pour booster cette croissance il y a à sa disposition deux leviers :

-favoriser la consommation des ménages en augmentant leur pouvoir d’achat (baisse des impôts, augmentation des revenus de transfert, et augmentation du smic) ; favoriser l’investissement des entreprises (baisses des impôts et subventions)

-augmenter l’investissement public si l’investissement privé n’est pas suffisant. Cette politique peut dans un premier temps faire augmenter le chômage car elle va inciter les inactifs à rentrer sur le marché du travail, pensant qu’avec les mesures de relance, ils vont trouver un emploi. De plus, il faut que les emplois créé correspondent aux qualifications des chômeurs.

Pour fonctionner, c’est-à-dire réduire le nombre de chômeurs, ces politiques ont besoin d’un taux de croissance important (2 à 2.5% en France). Et augmenter la demande effective de manière durable pour que l’entreprise élève leur niveau d’anticipation et donc embauche.

- Un coût du travail trop élevé

Les néoclassiques considère le travail comme une marchandise, comme une autre. Qui s’échange sur un marché. Les acteurs de ce marché sont rationnels et vont faire un calcul coût/avantage avant de fixer leur prix d’équilibre et leur quantité d’équilibre.

L’individu qui refuse de participer à l’échange sort du marché du travail et est considéré comme un chômeur volontaire. Pour les néoclassique, à partir du moment où le marché fixe un point d’équilibre on est en situation de pleine emploi.

Pour les néoclassiques le marché du travail va subir des contraintes qui vont l’empêcher de fixer les points d’équilibre ou de s’ajuster.

- Une main d’œuvre trop chère. Doc 16p348

Le coût du travail (ou salariale) est constitué de l’ensemble des dépenses effectué par l’employeur pour payer son employé. Il comprend le salaire brut et les cotisations sociales patronales.

Pour les néoclassiques, plus les coûts salariaux sont élevés, plus l’entreprise peut être retissant à embaucher ou être inciter à substituer du capital au travail (remplacer l’homme par les machines). L’augmentation du chômage serait due à l’arbitrage des chefs d’entreprises pour diminuer leur coût de fabrication. La productivité marginale du salarié est la donnée essentielle pour déclencher ou non l’embauche.

Pour diminuer le chômage il faut que cette productivité soit la plus élevée possible et en constante évolution, et reste supérieure au cout du travail. Pour élever la productivité du travail il faut en permanence former les salariés et amélioré les outils à sa disposition.

- Des charges sociales trop élevées

L’allocation chômage des taxes professionnel représente une partie des cotisations que payent les entreprises pour la protection sociale. L’ensemble de ces prélèvements va diminuer les ressources de l’entreprise (EBE) qui lui permettent de financer ces investissements pour rester compétitive et/ou embaucher.

Les salariés qui subissent le plus le chômage sont les moins qualifiés. De ce fait, une politique anti chômage va viser à alléger les charges sociales sur ce type de salarié.

Le gouvernement a mis en place le CICE qui vise à réduire le coût du travail pour les très petites entreprises, les PME (petit et moyenne entreprise) et ETI (entreprise taille intermédiaire). Cette mesure concerne tous les salariés jusqu’à 2.5 smic, et représente une dépense de 20 millions par an.

- L’impact du smic

Le smic va obliger des entreprises à rémunérer les salariées au-dessus de leur productivité marginale. Dès lors certaine entreprise vont renoncer à embaucher ou vont préférer mettre en place une mécanisation plus poussé de leur production.

- Des explications théoriques qui se cumulent

Chômage Keynésien baisse de la demande effective [pic 1]

[pic 2][pic 3]

Baisse de la demande effective faible investissement

[pic 4][pic 5]

Baisse compétitivité

[pic 6][pic 7]

Chômage classique cout du travail

- Le chômage structurel

Il concerne les modifications démographique et économique de la population active et du tissu économique.

- Evolution des qualifications et des formations

En 60ans, la qualification des salariés à fortement augmenter grâce aux innovations et au progrès de la formation. Le progrès technique a permis d’inventer des machines qui ont remplacés beaucoup de tache peu qualifié.

- Rigidité du marché du travail 22p351

Elles portent sur :

-les prix (les salaires) qui ne peuvent s’ajuster librement

-sur les quantités avec la possibilité d’embaucher et de débaucher. Cette volonté de rendre le marché du travail

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