Analyse microéconomique

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Les ressources en capital immatériel

Définition

Les ressources en capital immatériel sont en fait un processus d’accumulation qui permet l’optimisation des processus productifs des individus et des différents groupes auxquels ils appartiennent (communautés, sociétés). En effet, une ressource en capital immatériel est constituée par l’ensemble de valeurs, des croyances non fondées (les gens riches sont ceux qui travaillent fort) ou fondées (la liberté stimule l’innovation et l’efficience).Le processus d’accumulation des ressources en capital immatériel est très lent, puisqu’il prend racine dans l’histoire et les échanges d’une communauté donnée. Évidemment, ce type de ressource en capital est intangible et abstrait, puisqu’il s’agit d’une ressource en capital résultant d’un sentiment de confiance entre les institutions (gouvernement) et la population.

Résumé de la source consultée

Les Résultats du sondage auprès des citoyens 2011 : démarche de planification stratégique 2012-2016[4], démontrent que 87% des participants se sentent en sécurité. De plus, il n’y pas vraiment d’écart entre les réponses des gens provenant de la région de Montréal et Laval et ceux des autres régions. En effet, 87.3% des gens qui habitent dans les autres régions se sentent en sécurité, alors que 85.9% des gens habitant à Montréal et Laval se sentent en sécurité.

Explication ou illustration

Lors du processus d’accumulation des ressources en capital immatériel, les éléments accumulés sont des valeurs ou des croyances. Dans ce cas-ci, les résultats du sondage, par ses résultats élevés en faveur d’un sentiment de sécurité, vient témoigner d’une confiance de la part des québécois envers les capacités actuelles et futures de leur gouvernement à assurer leur sécurité.

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Le marché

Définition

Un marché désigne un lieu où des personnes, des institutions, des sociétés, négocient et échangent des titres financiers, des matières premières, des services, etc. Il y a une loi importante qui dicte le fonctionnement d’un marché, celle de l’offre et la demande. Il y a plusieurs marchés comme le marché des capitaux, le marché monétaire, le marché des produits dérivés et le marché de l’or. Par contre, la plupart de ces marchés sont virtuels, car ils existent sous la forme de réseaux informatiques[5]. Bref, les marchés facilitent les échanges entre les décideurs en leur permettant d’obtenir de l’information.

Résumé de la source consultée

La source, Les mécanismes du marché, est en lien avec le marché, puisqu’il est question de la relation entre les différents acteurs qui négocient des biens. De plus, l’article fait la distinction entre un marché concurrentiel, qui est en fait un marché où le prix est librement négocié entre les offreurs et les demandeurs jusqu'au moment où l'offre est égale à la demande. Par la suite, la source fait mention du rôle et des failles du marché dans l’économie Effectivement, le marché a une certaine limite, puisqu’il existe des situations de non-rivalité des consommations, ce que l'on appelle des biens indivisibles, conduisant parfois à un monopole naturel.

Explication ou illustration

Nous pouvons prendre en exemple le marché du pétrole, la ressource énergétique la plus importante au monde. Dans ce marché de matière première, on vend et on achète du pétrole. Contrairement à la pensée populaire, ce marché n’est pas un lieu physique. Le marché du pétrole est en fait un réseau de producteurs et d’utilisateurs de pétrole, tel que les compagnies de transport soit maritimes, terrestres, ferroviaires, aéronautique et les personnes ayant des voitures à essence. Cependant, dans ce marché, il n’y a pas seulement les producteurs et les consommateurs il y a aussi des grossistes et des intermédiaires qui achètent la ressource pour par la suite la vendre à un prix plus élevé, afin de faire un profit sur cette énergie fossile. Par contre, les décideurs qui sont dans ce marché ne se rencontrent pas dans le but de faire du commerce, mais ils communiquent via téléphone, Internet ou par télécopieur. De plus, le rôle économique du marché est d’assurer, par le jeu des prix, que ceux-ci sont suffisamment flexibles, qu’ils réagissent aux fluctuations de l’offre et la demande, tandis que les agents modifient leur comportement en fonction des mouvements au niveau des prix. Les différents marchés sont interdépendants, c’est-à-dire que le changement de prix sur un marché se répercute sur les autres. Bref, un libre marché est un marché ou les prix et les quantités sont déterminés que par leur consentement mutuel.

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Le bien

Définition :

« Un bien est un objet matériel ou pas qui est utile et susceptible de satisfaire un besoin et qui est disponible à cette fin. »[6]. En d’autres mots, si ce bien n’est pas disponible au moment au moment il est susceptible de satisfaire un besoin, ce bien n’est pas considéré comme un bien.

Résumé de la source :

La source que nous avons sélectionnée pour définir le terme «bien» ressemble à celle de notre professeur d’économie Guy Latreille, puisqu’elle évoque bien la notion de bien en économie. Surtout, Monsieur Latreille a su approfondir le thème durant une séance magistrale ce qui m’a aidé à mieux comprendre la notion de bien en économie. Voici sa définition tiré de ses notes de cours : « Un bien est un objet qui est matériel ou non et qui est capable de satisfaire un certain besoin, mais qui reste disponible à cette fin ».

Explication ou illustration :

Il y a plusieurs sortes de bien en économie. D’une part le bien de consommation qui est pour les consommateurs qui eux obtiennent des biens pour la satisfaction des besoins de chacun des individus. Pour chacun des biens de consommation, il y a un marché qui est constitués