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Le protectionnisme

Par   •  20 Décembre 2017  •  3 240 Mots (13 Pages)  •  503 Vues

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SCIENCE PO DEVOIR 2

Définition d’abstention électorale : En politique, l'abstention est le fait de ne pas participer à une délibération ou à un scrutin lors d'une élection ou d'un référendum. Les votes blancs ou nuls ne sont pas considérés comme des abstentions, mais ils ne sont pas pris en compte dans les résultats de l'élection.

Introduction : Quand nous parlons de l’abstention en général c’est qu’on l’on se prive de quelque chose, on s’abstient, mais en disant abstention électoral cela a un rapport avec la politique. Dans le monde de la politique ce mot dit que les personnes ne participent pas à un scrutin ou à un référendum. Nos deux documents sont basés sur le scrutin de 2008 et la cinquième république. Dans le premier le texte nous parle de l’élection organisée pour la Vème république en 1958. Alors que dans le deuxième document nous avons un tableau avec des pourcentages des personnes qui ne sont pas allé voter et de celles qui ne peuvent pas voter. Les deux documents nous viennent de l’INSEE. La question est importante car participer aux élections témoigne de la santé d’un régime démocratique par conséquent l’abstention indique-t-elle une crise démocratique ? Premièrement nous expliquerons l’abstentionnisme qui est relativement un ensemble de plus en plus hétérogène et deuxièmement la défaillance que cela apporte au peuple français dans sa politique et ses enjeux pour les électoraux.

- Une montée de l’abstentionnisme

L’abstention concerne les électeurs inscrits sur les listes électorales mais qui ne se déplace pas pour aller voter. Donc on ne doit pas confondre l’abstention avec les votes blancs et les votes nuls ni avec les personnes en l’âge de voter mais qui ne sont pas inscrit sur les lister électorales.

L’abstention progresse quel que soit le type d’élection, en France comme dans nombre de pays européens. L’abstention consiste à ne pas participer à une élection ou à des opérations de référendum. Elle traduit soit un désintérêt total pour la vie publique, soit un choix politique actif consistant à ne pas se prononcer afin de montrer son désaccord. La diffusion du phénomène contribue à redéfinir les modalités de la participation politique et les attributs de la citoyenneté moderne. Si le retrait systématique de la décision électorale apparaît relativement stable, on observe en revanche une augmentation significative d’un rapport intermittent au vote, et donc à l’abstention. L’alternance entre vote et non-vote est de plus en plus la règle, et ce dernier est de plus en plus souvent instrumentalisé à des fins de sanction politique. Les personnes qui font l’abstention ont deux (mais dès fois trois) choix dont :

Le vote blanc consiste à déposer dans l’urne une enveloppe vide ou contenant un bulletin dépourvu de tout nom de candidat (ou de toute indication dans le cas d’un référendum). Ce type de vote indique une volonté de se démarquer du choix proposé par l’élection.

Le vote nul correspond à des bulletins déchirés ou annotés qui ne sont pas pris en compte dans les résultats de l’élection. Il est parfois difficile d’interpréter le sens d’un vote nul. L’électeur n’a pas forcément souhaité que son vote soit nul (il a cru, par exemple, qu’une mention manuscrite ajoutée n’aurait aucune incidence).

Mais il arrive également que l’électeur ait volontairement déposé un bulletin nul pour

manifester son opposition aux différents candidats et programmes présentés.

La défaillance dans le peuple français et ses enjeux Les écarts de mobilisation de l’électorat sont en effet surprenants selon les pays et aussi les modes de scrutin. Certains enjeux comme l’élection du Président de la République, produisent une forte collaboration au vote donc c’est fois si le niveau d’abstention est la plus part du temps faible. Ainsi l’élection présidentielle n’écrit que les votes bons votes. Mais il peut y avoir des exceptions. Comme la fois pour l’élection présidentiel de 2002 entre Jacques Chirac et Jean-Marie le Pen au premier tour l’abstention était à plus de +8,1 points. Il y avait eu un jeu politique avec énormément de confrontation. Après un épisode pareil, la France a aussi eu la tendance d’abstention pour les élections locales, cantonales entre 1988 jusqu’à environ 2002.

Ces soit disant abstention sont créer à cause de trois choses :

La perte de confiance avec le politiciens envers les gens, le manque de motivation pour aller voter et pour conclure les discours de participant élu ne leurs inspire ou ne sont pas d’accord avec ce que le peuple français veux.

ConclusionL’abstention dans une société démocratique comme la France et d’autres nombreux pays, semble comme une aberration quand nous la confrontons aux choix collectifs qui définissent les millions d’êtres humains qui font partis des régimes politiques non démocratiques. Cependant l’abstention électorale est analysée avec énorme prudence, car elle peut être signe d’une corruption politique, elle désigne aussi des significations très profondes de manifestation et d’insatisfaction à l’égard du monde de la politique.

PHILOSOPHIE DEVOIR 2 :

Nous avons acquis nos sens dès la naissance, dans le but de nous ouvrir au monde avant même de l’avoir exploré. Ces sens nous permettent d’éprouver des sensations d’un certain ordre et en conséquence de percevoir les réalités matérielles. On peut aller au-devant de ces réalités qui caractérisent le monde sans même avoir à nous déplacer, ou même à enquêter sur le monde qui nous entoure, mais bien à l’éprouver, à le sentir, à le voir, à l’écouter, à le gouter et le laisser nous inculquer les connaissances qu’il possède ; mais les sens sont-ils seuls à nous fournir nos connaissances ? Ou bien y va-t-il d’autres procédés qui amènent à une opération discursive de la pensée, à un calcul, à une tradition. La faculté que l’homme à de connaître et de juger ne vient pas des sens, la faculté qu’il a de découvrir des relations de causalité, d’identité ne vient pas des sens, sa faculté de concevoir et de comprendre ne vient pas de ses sens mais d’un travail approfondi de son moi intérieur et avec l’expérience qu’il acquiert tout au long de sa vie. Notre capacité à réfléchir, à apprendre et à acquérir notre expérience et en outre nos connaissances viennent aussi d’une autre fonction.

Il

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