La végétalisation des espaces urbains
Par Andrea • 18 Septembre 2018 • 6 283 Mots (26 Pages) • 473 Vues
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décidé d’appliquer ces différents principes à la ville de Paris.
Définition :
• Développement durable : un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de "besoins", et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité ; et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir".
• Milieu urbain : Le milieu urbain se caractérise par une densité importante d’habitat et par un nombre élevé de fonctions qui s’organisent en son sein. C’est le centre des activités secondaires et tertiaires et le cadre d’activités sociales et culturelles importantes.
I- la végétalisation des rues
la végétalisation des rues est le fait d’ajouter des espaces verts qui peuvent être grande comme un parc ou petit comme un pot de fleurs devant une maison, la végétalisation des rues a plusieurs. Commençant par l’avantage environnemental de la végétation des rues suivi par ses avantages pour la santé et l’environnement social.
La planète ne souffre pas que d’un excès de CO2, mais aussi de nos pesticides, PCB, POP, métaux lourds, polluants chimiques en tous genres qui tuent le vivant, qu’il s’agisse du monde végétal, animal ou de l’espèce humaine.
Ce n’est pas un secret que les arbres produits de l’oxygène grace à la photosynthèse mais si on demande à une personne d’estimer la quantité d’oxygène que produit un arbre de taille moyenne ils n’auront pas une idée, un arbre en moyenne produit entre 15 à 30 kg d’oxygène ce qui fait qu’un hectare de forêt dégage 10 à 15 tonnes d’oxygène par année.
Une personne adulte consomme 700 grammes d’oxygène par jour et 15 à 30 kg en un mois et demi à peine. En une année, elle consomme l’équivalent de la quantité d’oxygène fourni par dix arbres (soit 200 à 300 kg).
Quant aux voitures d’après l’étude de Lewis Poulain faite aux centres meteologiques de Dorval (Québec) du sujet de la consommation de l’air des humains et des véhicules nommé “volume d’air”. On a évalué les volumes d’air consommé par différents moteurs et par la suite, on compare ses volumes avec les 9700 litres d’air requis quotidiennement par un être humain moyen. Pendant une heure de fonctionnement le moteur typique d’un camion, d’un VUS (véhicule utilitaire sport – “SUV”) et d’une automobile compacte requiert, environ le même volume d’air que les besoins de 111 personnes pour respirer pendant une journée complète. Pour un avion, suite à un décollage et atterrissage les moteurs nécessitent un volume d’aire qu’environ 8000 personnes ont besoin en une journée pour respirer. Le grand nombre de moteurs à combustion fait de ceux-ci les consommateurs des plus grands volumes d’air. Tous les moteurs fonctionnant au cours d’une journée, consomment virion 3,1x10 puissance 12 litres d’aire, ce qui représente environ 175 fois le besson en volume d’air quotidien.” Ce qui montre le grand besson d’espace verte dans les espaces urbaniser.
La végétation des rues représente une façon de lutter contre l’erosion du sol ou la deforestation c’est le phénomène de la diminution des espaces verts qui représente un grand danger pour notre planète. C’est le cas de l’Amazonie la plus grande forêt du monde aussi appellee le poumon de la terre qui a diminué de 17% en surface à cause de son exploitation par l’homme. Pendant les années “selon les projections du Fonds mondial pour la nature (WWF), si son exploitation se maintient à ce rythme, 55 % de sa surface auront disparu en 2030”. La végétation des rues va à son tour favoriser la biodiversité qui est “la diversité de la vie sur terre. Elle s’apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces et des gènes dans l’espace et dans le temps, ainsi que les interactions au sein de ces niveaux d’organisation et entre eux. ”. Puisque les plantes représentent d’abrit et la source de nourriture de beaucoup des animaux la disparition d’une espèce vegetal a un effet de domino sur l’extinction en moyenne de 30 espece animal.
L’évolution de la surface de l’Amazonie avec le temps
L’état actuel de l’Amazonie
source:google
Les avantages pour santé sont aussi importants que les avantages écologiques : avoir une vue sur un environnement naturel diminue le séjour de patients en postopératoire et diminue le taux de complications et le besoin en analgésique. Un milieu vert améliore la santé psychique, les troubles d’attentions, prédispose et incite aux activités extérieures et physiques. Une vaste étude britannique portant sur 40 millions de sujets a relevé que vivre en milieu vert comparativement à un milieu urbain minéralisé et bétonné diminue la mortalité globale de 6 % et surtout diminue de moitié la différence de mortalité cardiovasculaire observée entre pauvres et riches.” Article par Florence Danner
Les arbres cree de l’ombre qui nous sert à nous protéger contre les rayons solaires plus précisément une protection contre les rayons ultra-violets d’après le “centre fort disease contrôlent and prévention (CDC)” des États-Unis le rayon ultra-violet du type A et B sont les plus dangereuses en 2002 aux États-Unis il y a eu 1 million cas de cancer de la peau dont il existe deux types les mélanomes qui regroupent de 3% à 5% des cas et les carcinomes qui représentent de 90% à 95% des cas du cancer de la peau, majoritairement on trouve le cancer de la peau sur la surface de la peau la plus expose aux soleils comme le visage; le cou et les mains en plus que d’après le CDC ont affirmé qu’a l’âge de 18 ans un individu aurait déjà atteint 50% de son capital soleil. Il faut se render compte que les rayons UV peuvent traverser le brouillard, les nuages et la brume et beaucoup plus l’eau, la neige, et le sable qui refletent ses rayons à cause du phénomène de réverbération ce qui augmente leur effet sur la terre. De plus a cause du trou dans dans la couche d’ozone un plus grand % des rayons
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