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La notion de culture.

Par   •  19 Juin 2018  •  3 211 Mots (13 Pages)  •  671 Vues

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Culture partagée

1. Les préalables de la culture

La culture peut être personnelle, comme elle peut être partagée. Lorsqu’on la qualifie de personnelle, c.à.d. qu’elle prend l’homme tout entier. Mais, lorsqu’on la qualifie de partagée, c’est toujours entre une masse.

Les modes de vie d’une catégorie de personnes constituent la culture au premier degré. Or, la culture personnelle, se situent au deuxième degré, constitue un enrichissement d’esprit individuel. Au niveau de la culture moderne, la culture émanant d’une nation, d’une communauté, d’une région, se qualifie d’un plan géographique. C’est ainsi que s’observe la diversité de la notion de culture individuelle, d’in pays à un autre.

Selon un ordre chronologique, on relève cinq termes, cinq aspects partiels de la culture, ce sont, en fait, des préalables de la culture. En premier stade, se situe le savoir (un emmagasinement par esprit des idées et des faits), suivi du mot, les connaissances (toujours au pluriel), l’érudition sur une voie parallèle, et puis l’instruction privée, qui s’est évoluée progressivement pour être inculquer aux citoyens officiellement et gratuitement, ce qu’a fait appel à l’éducation nationale, et puis en dernier stade la formation.

A travers l’histoire humaine, l’état naturel a cédé la place à l’état de la société. Mais, l’homme est attaché souvent à ce que l’environnement octroie. C.à.d. que toute culture individuelle a, comme essence, un climat qui comporte essentiellement : la liberté et la disponibilité, l’hérédité sociale, et l’environnement.

En ce qui concerne la liberté et la disponibilité, l’homme se trouve souvent indisponible pour pouvoir consacrer un temps à la culture ; soit par ce qu’au niveau de sa société de consommation, et plus précisément au niveau de l’endroit où il exerce son métier, la plus grande partie est consacrée aux servitudes de sa profession, et donc il y a un décalage entre son temps et celui des loisirs, soit, à cause de l’influence des médias.

En ce qui concerne l’hérédité, cette dernière est double. On distingue l’hérédité biologique, qui procure des facultés se trouvant essentiellement chez les adolescents, telles que l’intelligence, la volonté, la mémoire, la résistance physique…., et l’hérédité sociale, où les cultures retrouvent leur place, en allant à la rencontre d’une seule culture, et dont le problème est celui de la transmission de la culture. Parmi ses facteurs, il y a la langue, c.à.d. la possession d’une langue de culture, il y a ainsi la famille, qui est l’environnement, au sein de laquelle, l’adolescent apprend à raisonner ses facultés afin d’atteindre le palier de la culture.

Nous parlons aussi du rapport entre la religion et la culture, dont l’influence religieuse sur l’instruction d’un enfant représente un effet primordial et déterminant. Renan affirme que : « la culture est la religion la plus parfaite ». Ainsi, on ne peut admettre qu’un homme soit cultivé, que s’il dispose d’une certaine morale ou éthique.

En ce qi concerne l’environnement physique, il joue un rôle essentiel dans la construction culturelle de l’individu, et c’est en allant du plus petiot cadre géographique au plus énorme cadre, qui lui permet d’élargir ses idées.

Donc nous parlons du climat, nous parlons donc d’un cadre naturel qui est plus présent dans la nature humaine, que le cadre sociale qui passe plutôt presque inaperçu.

2. Culture objective/ culture subjective :

La culture, suite aux préalables nécessaires que nous venons de décortiquer, constitue deux catégories d’éléments, qui font d’elle la vraie culture que l’homme peut acquérir.

Il ya des éléments objectives, dites aussi quantitatives, qui forment la culture personnelle de l’individu, et d’autres dites subjectives, qualitatives qui identifient l’homme en soi.

La culture personnelle était souvent qualifiée de culture générale, parce qu’elle s’intéressait à l’ampleur de l’apport social dans la vie personnelle d’un être humain, alors qu’aujourd’hui nous donnons plus d’importance à la culture physique, qui fait partie de notre culture générale, et sui doit être associée à la culture de l’esprit.

Le contenu, le degré, et l’étendue sont des valeurs qui permettent de mesurer la culture d’un homme. Ainsi, un joueur, est considéré, comme étant un homme cultivé, que si sa science n’est pas limitée aux échecs, la cuisine raffinée est une façon d’expression culturelle… Nous pouvons dire que la culture contient des objets variables. Elle peut être une culture globale qui emmagasine ce don t l’être humain a appris de son métier et de son éducation. Elle peut, aussi, un ensemble d’éléments étrangers à son essence (ni politique, ni économique, ni religieux). D’un autre côté, la culture personnelle doit, en fait, se libérer de tout ce qui est d’usage individuel, puis de tout ce que le monde matériel est infrahumain, ainsi elle ne doit pas être un marché car la culture nécessite une participation, pas une vente .

Les connaissances constituent une référence essentielle qui expose le degré de culture d’un homme. Par ceci, on distingue la haute culture, et la culture de base. Nous comprenons de la première, une culture d’élite, où toutes choses ont leur part, et où se fait la part des choses. La seconde est une culture élémentaire, des connaissances qui donnent les moyens de vivre à un être humain. Et entre les deux types de cultures, se situent les cultures intermédiaires, qui permettent de faire honnêtement figure, c'est-à-dire que la culture de l’homme n’est reconnue que par un diplôme ou un certificat… Et donc, l’homme cultivé est celui qui se sent capable de pérorer, de discourir dans un objet, aisément. Et comme dit Pascal : « il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout, que de savoir tout d’une chose ».

Or, à quelle mesure peut s’étendre les connaissances de l’être humain ? La culture générale est une culture qui s’oppose aux cultures particulières, puisque c’est un ensemble équilibré de connaissances dans les principaux domaines du savoir, et qu’un scientifique, un artiste, un politique, un économiste, est obligé de retenir pour prouvé vraiment qu’il est un homme cultivé( honnête homme, dit jadis).

C’est, justement, parce que ces cultures partielles ne sont pas des cultures. Ainsi

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