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Psychologie cognitive

Par   •  25 Septembre 2018  •  1 021 Mots (5 Pages)  •  745 Vues

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 Tentative de refonder la métaphysique et d’en faire une science dans le but de rechercher les causes.

Cela débouche sur la psychophysique. Ce courant s’intéresse à la relation entre la stimulation et la sensation. La méthode mise en place est d’isoler une grandeur physique (un sujet) et soumettre le sujet à différentes valeurs de cette grandeur. On va faire varier la stimulation pour savoir quand est ce que le sujet peut avoir la sensation de l’objet. On propose à un patient des images et on va voir à partir de combien d’images il ne peut se souvenir des infos.

Helmholtz  mesure la vitesse de l’influx nerveux.

Wundt et Titchener fonde le structuralisme  le sujet développe son intelligence dans le temps. A cette époque la psychologie était considérée comme une branche de la philosophie. Wundt montre que ce n’est pas le cas et il fonde le premier laboratoire en psychologie expérimentale à Leipzig. Titchener s’est intéressé aux sensations, émotions (relancés car on s’est rendu compte que les émotions sont quantifiable  échanges nerveux dans le cerveau), images.

Associationnisme : Etude des processus de haut niveau (processus mnésiques). Mesure du comportement pour inférer les processus. La méthode est l’introspection et méthodes objectives d’apprentissage.

Zx : on voulait évaluer la trace laissé par un apprentissage partiellement oublié (en combien de temps on commence à oublier ce que l’on a appris). On donnait aux participants des syllabes et de les lires, puis on lui demande de nous dire les syllabes qu’il a lu. Ensuite on mesure le nombre de répétitions de lectures nécessaires pour retenir la liste sans erreurs. Enfin on mesure le nombre d’items retenu en rappel immédiat et différé. On observe qu’il faut que le patient lise la liste plusieurs fois pour retenir le contenu. Il faut un certain temps pour apprendre mais on apprend par moment. Plus on répète plus on apprend facilement.

La courbe de l’oublie selon Ebbinghaus. En deux jours on oublie plus de la moitié de l’information que nous n’avons pas bien compris. Cependant lorsque l’on a compris l’information elle se perd moins facilement.

Le fonctionnalisme se crée en parallèle à l’associationnisme. L’homme est capable de s’adapter et de répondre dans l’ENV dans lequel il est  l’esprit a une valeur adaptative. L’esprit est un tout, on ne peut pas la diviser en parties constituantes. L’objet de l’étude est le fonctionnement de l’esprit non pas sa structure. (L’introspection ne produit pas de mesures valides pour l’étude de l’esprit).

Le comportementalisme est une approche psychologique, elle se concentre sur le comportement observable qui va être déterminé par l’ENV et l’histoire des interactions, le tout dans un milieu spécifique. (dominant au 20ème siècle) On critique encore m’introspection. Tout comportement humain peut être considéré comme réponse à une/des stimulations (Le paradigme de stimulus  Réponse.)

L’esprit/les fonctions mentales sont considérées comme une boîte noire (ce qui n’est pas directement observable ne peut être étudié).  Pavlov. Il a appris au chien qu’un objet était associé à un autre objet (cloche/nourriture) et à chaque fois le chien salivait.  Conditionnement. On peut répéter cette expérience avec un humain. Une association entre une stimulation X et une réaction A, naturellement associée à une stimulation Y.

John Watson est le fondateur de comportementalisme (behaviorisme). Lui a étudié

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