L'histoire évolutive de l'homme.

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détriment de la face.

Peut aussi être organisé sous forme de tableau

Les caryotypes de l’homme et du chimpanzé présentent un nombre de différences limité. Plus de la moitié des chromosomes sont identiques entre les deux espèces tandis que trois additions de matériels et neuf inversions modifient la structure de 10 d’entre eux. Si la constitution en bande des chromosomes reste très similaire, certaine modification subit par les chromosomes peuvent expliquer le non fécondité des hybrides. Ainsi, la différence du nombre de chromosome qui se traduit par une garniture apoïde différents entre les gamètes mâle et femelle conduit a un nombre impaire de bivalents lors de la prophase 1 empêchant son bon déroulement. De même, les inversions, l’addition de matériel ou de la délétion de matériel peuvent gêner le bon appariement des chromosomes et donc le déroulement de la méiose.

De plus, en cas d’échange méiotique entre les chromatides, ces modifications peuvent conduire à l’inactivation de gêne dont les éléments ne sont plus en continuité. Il en résulte que des changements comme ceux différenciant les chromosomes de l’homme et du chimpanzé conduisent à des lignée incapables de se reproduire. Même si des descendants pouvaient se développer, ils seraient stériles.

La comparaison des caractères morpho-anatomiques des caryotypes de différents données moléculaires entre les chimpanzés et les hommes actuel permet de dégager les critères d’appartenances spécifiques ( états dérivés de caractères) de la lignée humaine.

L’homme partage un ancêtre commun récent avec le chimpanzé : le bonobo. Cet ancêtre commun devait donc posséder tout les caractères aujourd’hui communs a cet organisme. Cet ancêtre commun n’est ni un homme ni un chimpanzé car tous on évolués au cours du temps : des innovations évolutives ( à l’origine des états dérivés de caractère) sont apparue aussi bien dans la lignée humaine que donc celle des chimpanzés. Actuellement la divergence des deux lignée peut être située autour de – 7 millions d’années. On admet que tout fossiles présentant au moins un des état dérive de caractères propre a la lignée humaine appartient à cette lignée.

L’homme et le singe sont très proches génétiquement cependant certaines séquence ( gène du développement) présentent une forte variabilité. Ainsi les différences observée au niveau du crâne et des deux espèces peuvent s’expliquer par des durée différents d’expression de certains gênes ( ASP et HAR1) ou bien par l’absence d’expression ( MYH16) durant le développement pré et post natal ( schéma) . D’autre part l’établissement du phénotype résulte d’un interaction permanente entre l’expression des gêne et l’environnement mais repose aussi sur l’apprentissage et une communication entre individus.

a) Critères anatomiques

b) Critères génétiques

c) Critères morpho-anatomiques + frise

3) L’Histoire évolutive de la lignée Humaine

Comme pour les autres groupes l’évolution du genre humain est buissonnante, de nombreux rameaux ont existés et même coexistaient. Plusieurs stades ont existés depuis les derniers ancêtres communs entre homme et chimpanzés :

Les Australopithèques regroupent de nombreuses espèces qui ont vécu entre 4,6 et 1 MA : ils étaient bipèdes mais leur capacité crânienne était peu importante et leur face était projetée en avant.

Le genre Homo regroupe l’Homme actuel et plusieurs autres espèces fossiles. Ces espèces  sont caractérisées par un bipédie très accomplie permettant la marche et la course. Le développement cérébral important est associé à l’utilisation d’outils en pierre taillée de plus en plus sophistiqués.

Le genre homo émerge en Afrique il y a environ 2,5 MA avec homo habilis.

Homo erectus et homo ergaster quitte le berceau africain et colonise l’Asie, le proche Orient et l’Europe.

Les Néandertaliens caractérisés par un volume crânien supérieur à celui de l’homme actuel, diversifient et perfectionnent les outils de pierre taillée et développent les rites funéraires. Ils s’éteignent il y a 30 mille ans.

Notre espèce Homo sapiens apparaît e Afrique il y a 100 milles ans. Elle utilise des outils très diversifiés et c’est la seule espèce a éprouver la nécessité de s’exprimer par l’art.

La construction de l’arbre phylogénique du genre Homo est controversée dans le détail car même s’il y a un continuum génétique de certains Homo jusqu’à l’Homme moderne on ne peut pas retrouver de façon sure la filiation exacte.

On qualifie la lignée humaine de lignée buissonnante car le genre australopithèque et le genre homo se sont détachés a environ 2,5 millions d’années expliquant les deux principales branches du buisson.

On observe que certaines espèces sont des espèces évolutives alors que d’autres ont évoluées en parallèle. On observe également que des espèces coexistent au sein même du genre homo et entre le genre homo et