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Culture Générale et Expression cas

Par   •  23 Décembre 2017  •  1 041 Mots (5 Pages)  •  535 Vues

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Le document 3, le texte d’Emmanuelle BOUCHEZ est le résumé d’un téléfilm « Les vauriens » et son type est narratif.

Le propos directeur de ce texte est, le fait qu’on pourra voir dans ce film comment se passe la vie dans une maison de redressement pour un jeune homme innocent qui à été enfermer et le plus vieux détenus. Entre eux, une amitié va s’installer. Toute cette histoire part du fait, qu’une fille hérite de son père et découvre son lourd passé, qu’il a eu sur Belle-Île.

3. Sélection d’idées dans un document (14 points) :

D’après le document 2, quelles sont les différentes étapes historiques du rapport éducation-répression ?

Grâce au document numéro 2, nous pouvons observer une différence au niveau éducation-répression. Dans l’ancien temps, plus particulièrement dans les années 1860, les jeunes délinquants étaient envoyés dans des camps appelés « colonies pénitentiaires ». A cette époque, personne ne voulait perdre du temps avec l’éducation et pour tous, l’isolement et l’enfermement des jeunes était la bonne solution. Les militaires vont prendre ces jeunes en charge à un moment, ce qui rendra les punitions encore plus dures et plus longues. C’est lorsque nous arrivons dans le XIXe / XXe siècle que les choses vont changer. La IIIe république va donner une importance particulière à « l’éducation et la protection de l’enfant ». De plus, en 1912, va être crée une loi pour instaurer le premier tribunal pour les enfants. Ils seront comme ça jugés sans être au préalable punis. C’est à partir de 1937-1938 que nous avons put observer un réel changement car, les premières réformes seront mises en place. Les jeunes (mineurs) délinquants ne seront plus envoyés au bagne mais seront suivis et placés dans des « cycles pédagogiques ».

Cependant, c’est au bout de vingt longues années que l’on entendra plus parler de ces colonies pénitentiaires pour jeunes.

L’enfermement et l’isolement n’étant pas la bonne idée de redressement pour ces jeunes en difficultés d’adaptation.

4. Comparaison de documents (20 points) :

Quelles sont les idées communes à ces trois documents ?

Dans ces trois documents, nous retrouvons une idée commune qui est : les enfants envoyés dans les camps de redressement. Ces textes sont enfaite, une dénonciation de ces camps. Chacun exprime son point de vue, et, ils se rejoignent tous sur le fait que ces camps, ne sont pas, et n’ont pas été la bonne solution pour redresser le comportement des enfants. Les jeunes délinquants, avaient besoin de recevoir des limites, certes, mais pas des limites comme être enfermés dans des camp, sauf que, c’est ce qu’il en était : « … il n’y a plus que le châtiment et l’enfermement dans des colonies pénitentiaires publiques. » (Lignes 6.7.8 ; texte 2 de Jacques BOURQUIN, le monde diplomatique). Avec le temps, les hommes politique comme Monsieur Luc FERRY et Monsieur Nicolas SARKOZY, ont tout de même réussi a faire bouger les choses : « les mineurs délinquants sont réinscrits dans un cycle pédagogique normal » (Lignes 61.62 ; texte 2 de Jacques BOURQUIN, le monde diplomatique).

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