Littérature de jeunesse. La production résulte-t-elle d'une réelle préoccupation des intérêts de l'enfant ou de la motivation financière des éditeurs ? Est-ce important de parler si tôt de drogues, sexe, ou cela peut-il être dangereux ? Metton
Par Raze • 13 Juin 2018 • 765 Mots (4 Pages) • 770 Vues
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Peut-on rire de tout même des handicapés ? Pas avec tout le monde, il faut savoir rire de tout car ça enlève la peur et la différence fait peur.
Partie 4:
Nadège a comme sujet, le racisme, la politique et l'argent également. L'enfant doit apprendre les choses dans un certain ordre. Parler trop tôt de l'homosexualité augmenterait le risque d'angoisse pour le jeune adolescent qui est au début de sa sexualité.
=> à quoi bon parler de tout ça aux enfants ?
Il est faux de croire que les livres pour enfant d'avant ne parlaient pas de ces sujets.
L'auteure a peur que la peur de la mort ne se transpose sur le foi.
Elle prend appui sur le monde pour aller là où son coeur la porte. => écrivaine engagée, elle écrit pour rendre ce monde un peu meilleur.
Les livres de jeunesse ont beaucoup d'optimisme comparés aux livres plus adultes.
Partie 5:
Nadège est d'accord pour dire que la littérature de jeunesse a pour but d'informer, apprendre et expliquer. Mais elle se demande quand même quel est le moment auquel il faut faire lire certains ouvrages aux jeunes. Faut-il rester sur le non-dit ou faut-il le montrer clairement ?
L'auteure, par l'expérience d'une de ses amies institutrices, remarque que les enfants ont souvent une vision différente et comprennent les sens cachés de certains livres.
Au final, l'auteure aime bien cette non-autocensure, car quand bien même ce n'est pas explicite, les enfants comprennent le message la plupart du temps. Elle laisse s'épanouir sa nature pudique et son enfantin besoin que l'histoire doit toujours bien se terminer. Elle admet que l'écrivain de jeunesse ne peut pas non plus tout dire.
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