Les chats analyse
Par Raze • 26 Septembre 2017 • 1 036 Mots (5 Pages) • 507 Vues
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Ex : QUI… eux
QUI semblent.
Il y’a aussi au niveau du deuxième tercet et du deuxième quatrain une proposition subordonnée[1]
Conditionnelle pour le deuxième quatrain : s’ils pouvaient et
Comparative pour le deuxième tercet : Ainsi qu’un.
Le parallélisme syntaxique mis en place par Baudelaire
6. a) Quelles figures de construction sont exploitées dans ce poème? Ellipse, asyndète, anaphore, allitération, assonance, etc. ? . Expliquez chaque fois.
b) Métaphores, métonymie, synecdoque?
Dans le poèmes on constate des allitérations en « m » : amoureux, aiment, également, mure, maison comme, amis, semblent, s’endormir, magiques, vaguement, mystiques. La consonne « m » évoque l’amour, et la sensualité,
La deuxième allitération est en « r », elle commence dans la première strophe et continue tout au long du poème : amoureux, fervents, austères, leur, mure, orgueil, frileux, sédentaires, cherche, horreur, ténèbres, Érèbe, pris, pour, coursiers, funèbres, servage, fierté, prennent, grands, s’endorment, rêver, reins, parcelles, or, prunelles. L’allitération en « r » et une allitération en « l » les, la, le, également, leur, frileux, ils, incliner, nobles, allongés, solitudes, semblent, pleins, étincelles, parcelles, étoilent, prunelles. Elles évoquent la fluidité.
L’allitération en « s » est omniprésente dans le poème : savant, austères, saison, puissants, silence, sont, sédentaires, science, ses, coursiers, si, servage, son, sphinx, solitudes, semblent, s’endormir, sans, étincelles, parcelles, ainsi, sable, mystiques. L’allitération en s a pour but de créer une sifflante qui rappel la sensualité, le plaisir.
Il y’a aussi une répétition doublée d’une comparaison dans le 4 Emme vers : Comme eux et comme eux. Compare les chats au être qui les aiment et la répétition accentue cette comparaison en donnant ‘vie’ aux chats.
Il y’a aussi un chiasme sémantique dans le premier vers : Les amoureux fervents et les savants austères, qui indique une relation entre l’amour et la science, accentué par la paronomase du deuxième quatrain : science et volupté, silence et l’horreur. Baudelaire utilise ces paronymes pour rappeler la connexion ou la continuation entre la science et les sentiments
Les assonances en On et en EN dans tout le poème constituent la liaison, la fusion et l’unification du poème au delà des différences sémantiques qui créent une dichotomie dans le poème.
b) on a aussi une synecdoque : Leur reins, leur prunelles accentue le coté mystique des chats.
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