Le travail 1 – « Les cyclopes du jardin public » (Thériault)
Par Raze • 26 Août 2018 • 1 403 Mots (6 Pages) • 455 Vues
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dans le temps et suggéraient une situation temporale qui courait en arrière. « La journée se déroulait à reculons ». Voilà notre premier indice que le suit d’évènement est à l’envers et il arrive même dans la première ligne du texte. Quelques autres morceaux moins évidents du texte qui brisent le temps sont quand Thériault écrit sur l’éloignement du personnage de la ville qu’il est en train de se rendre à. Si le personnage veut se trouver en ville et il marche dans sa direction, alors pourquoi éloigne-t-il de sa destination? Je propose que ce soit le temps qui recoule et non pas qu’il marche dans l’autre direction. Un autre moment où il y a une grande perturbation du temps c’est au moment où le ciel devient un peu ré-illuminé et puis ; « un disque rouge sortait du plafond obscur et descendait vers une ligne d’horizon encore invisible » (Ligne 30, page 33). C’est un détaille très bizarre quand la nuit finie avec le couchant du soleil. C’est une preuve incontestable qui démontre l’inversement du temps le longues de l’histoire. De plus, on peut remarquer que la phrase, « Il recoula. » (Ligne 35, page 31) et d’autres lignes similaires serrent peut-être eux aussi a donné l’allusion d’un craquement du temps. Toutefois, il est très intéressant que Thériault a réussi à raconter les évènements et les actions du personnage dans leurs bon ordres et, en même temps, a fait sembler que le temps recoulait.
Les manipulations de temps que Thériault fait sont appropriés pour un texte de genre fantastique. Le fantasme c’est quand on a des phénomènes surnaturels qui sont présenté comme rational. Il y a tant d’éléments qui sont certainement d’une origine imaginaire incorporer dans Les cyclopes du jardin public. La première indication se trouve dans le titre. Référant au mot « « cyclopes », nous réalisons immédiatement quand on commence ce texte que c’est probablement du genre fantastique. On devient certaine des éléments du fantasme quand le personnage découvre que « l’oiseau possédait qu’un œil, immense et rouge, en plein centre du front » (ligne 33-34, page 37). On n’observe jamais en réalité des oiseaux cyclopes dans la nature.
Après avoir fait un peu de recherche dans le dictionnaire, j’ai beaucoup aimé ce texte. J’ai trouvé que Thériault a utilisé un vocabulaire très riche pendant qu’elle écrivait ce texte. Il y avait beaucoup d’adverbe, d’adjectif et elle a utilisé des synonymes pour plusieurs mots à travers l’histoire. Avec les peu de détails que Thériault a mentionnés, c’est comme elle essayait de restreindre les perceptions possibles par les lecteurs. Pour dire autrement, lorsque deux mots sont synonymes et représente le même signifié, un des synonymes provoquerai selon les lecteurs un signifiant diffèrent que l’autre synonyme. Par exemple, regarder le contraste entre le mot, « mur », et le mot, « paroi ». La définition d’un mur est assez similaire à la définition de la paroi, mais, le mur est défini plus comme un obstacle ou une barrière qui sert a fortifié une région. Autrement, la paroi a un sens basé plus sur une séparation entre deux régions. On peut aussi faire le même exercice avec le mot « façade » qui est aussi un synonyme de mur, et on verra des distinctions encore. Alors, lorsque Thériault n‘emploie pas les mots synonymes interchangeablement elle essaie de décrire une image beaucoup plus spécifique.
Après avoir observé tous les éléments de ce texte qu’on vient de mentionner, je crois que le texte est devenu beaucoup plus facile à comprendre. On a découvert à travers cet analyse de langage que Les cyclopes du jardin public est une histoire de genre fantastique. On a soulevé aussi les thèmes les plus dominante de l’étranger, de la claustration, et de la ton angoissante à travers les champs lexicaux. Aussi, on a remarqué les bouts de texte qui représente le craquement du temps à travers l’histoire. Thériault a utilisé la langue français de façon très intéressant pour composer un histoire qui peut donner des cauchemars même aux gens les plus courageux et j’ai envie de lire plus de ces œuvres.
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