Le nouveau modèle de la femme travailleuse durant la République de Weimar à travers la vie et l'oeuvre d'Irmgard Keun
Par Raze • 17 Octobre 2018 • 1 261 Mots (6 Pages) • 533 Vues
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En partie c'est par cela que, quand son amie Olga présente Martin, elle s'accroche à lui et son mode de vie commence à changer complètement. Martin ne pense jamais à l'avenir, il vit par jour sans la plus grande préoccupation dont profiter.
Quand Gilgi reste enceinte, elle comprend qu'elle doit prendre une décision transcendante ; par elle et par le petit qui est pour venir. Elle doit récupérer les rênes de sa vie, recommencer à travailler et à construire un foyer, bien qu'elle doive abandonner pour cela à l'amour de sa vie.
Dans le roman de Keun des sujets se font remarquer comme : le fait de réveiller à la vie adulte et le pas résultant de petite fille une femme, une société de turbulences économiques et sociales ou la nouvelle femme.
Le pas à la vie adulte est clef dans cette œuvre, puisqu'elle est dans le 20 anniversaire Gilgi quand sa vie commence à s'ébouler, elle prend des décisions adultes erronées, comme partir pour vivre avec un homme qui peu à peu un fruit de son immaturité contaminera sa forme vague de vie. Mais le destin fera qu'elle mûrit tout à coup, quand Gilgi découvre certainement qu'elle sera maman. C'est le moment dans celui qui décide de prendre réellement les rênes de sa vie et de cesser de se comporter comme une petite fille.
D'un autre côté, cela il ne sera pas facile, puisque de divers drames l'entoureront. Son ami Hans, terriblement appauvri, décidera de finir avec sa vie et avec celle-là de sa famille, après avoir demandé de l'aide Gilgi. Gilgi se sentira terriblement coupable, le grand choc qui subira un fruit de cela, de fruit avec sa maternité, ils feront qu'elle décide de changer sa vie. Aussi la femme qui l'a donnée dans une adoption aux Kron, celle qui l'a allaitée par une courte période, vit totalement plongée dans la misère. Elle est significative, la façon dont Gilgi se préoccupe plus de situations que les personnes passent autour de lui que par sa propre situation. Chaque jour est plus enfoncé dans rien, la passivité et la pauvreté, mais enivrée par l'amour comme elle se trouve, elle n'est pas capable de réagir bien que parfois elle le lui propose.
Gilgi représente la tendance littéraire allemande de la nouvelle femme puisqu'elle est extrêmement travailleuse et ne veut pas dépendre d'un homme. Elle est têtue et ce qui se propose l'obtient. Bien que l'on passera pour un grand trou, finalement le Gilgi vieille resurgira et sera le suffisant vaillant comme pour partir enceinte et seule à un autre pays, sans demander de l'aide personne, avec l'objectif de s'efforcer et de travailler trop pour tirer avancez son bébé. Le rythme accéléré des métropoles se fait remarquer aussi dans ce roman, la scène présentée ensuite le forme parfaitement : "Quelqu'un reste-t-il encore sans billet ? Quelqu'un reste-t-il encore sans billet? Ils vont travailler. Jour après jour, à travailler. Chaque jour ressemble au suivant. Cling, cling, cling : ils baissent du métro, montent au métro. Ils voyagent, d'ici pour là-bas. Une journée d'huit heures. Machine d'écrire, un bloc de sténographie, des découpages de salaire, une fin de mois... Toujours le même, toujours le même. Hier, aujourd'hui, demain et à l'intérieur de dix ans " (page 14).
Entre tous ces aspects intéressants nous avons décidé de faire le commerce de la lecture-performance le sujet de Gilgi comme de nouvelle femme, mais aussi nous avons voulu raconter une partie de son histoire et avons formé sa personnalité.
"Gilgi, eine von uns" c'est un livre très intéressant parce qu'elle traite quelques sujets très relatifs au contexte historique de l'Allemagne de l'époque et par cela il nous a semblé très didactique et nous avons voulu l'inclure à ce travail.
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