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« Le lendemain du dénouement du malade imaginaire, Toinette écrit à sa meilleure amie toute l’aventure.»

Par   •  2 Septembre 2018  •  2 558 Mots (11 Pages)  •  582 Vues

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A peine l’arrivée des médecins Maître Argan se plaint déjà.

Monsieur Diafoirus faisait ses compliments pendant que maître Argan lui en faisait aussi ils parlent tous deux en même temps tout en s’interrompent et confondent.

Par la suite, Monsieur Thomas fait ses compliments bien récité, Il a bien apprit sa leçon,

Même un peu trop apprise ! Il méprend de récit et crut qu’il avait la belle-mère face de lui lorsque face à lui se trouvait Angélique. Argan avertit que ce n’était pas sa femme puis il fait les compliments, destiné à Angélique. Quel beau discours il l’a comparé à diverses choses comme un autel.

Monsieur Diafoirus fait un long discours bien ennuyeux sur son fils.

Le discours enfin fini, Monsieur Thomas offre une thèse à Angélique, Ainsi qu’une dissection d’une femme elle était sur le point de refusé mais je proteste d’accepté. Qu’elle cadeau !

Mon maître demande à faire jouer sa fille devant les invités ici présents. Cléante résume la scène puis ils chantèrent tous les deux leurs amour.

Argan fit arrêter la scène brusquement et dit que cette comédie est un fort mauvais exemple c’est sûr il se passe tous l’inverse de cette scène ! Il s’accapare de la feuille et s’aperçoit que rien était écrit de tous se qu’ils ont dit, il trouva une excuse mais qui ne fit pas passer.

Il lui dit au revoir et qu’il se serait bien passé de toutes ses sottises, il part.

Madame Béline vint, Monsieur Thomas fait ses compliments et oubli son texte, pas étonnant monsieur à appris comme au collège et il a était déstabiliser par l’ordre.

Maître Argan incite sa fille à toucher dans la main de Monsieur et de donner son foi comme à son mari. Elle refuse, et argumente de ne pas vouloir précipiter les choses et de les laisser apprendre à se connaitre. Néanmoins Thomas lui n’a point besoin d’attendre davantage. Maître Argan reste sur sa position et lui dit qu’ils auront tout loisir à se connaître quand ils seront mariés. Angélique, déclame « si monsieur est honnête homme il ne doit en aucune façon accepter une personne par contrainte ». Angélique se défend et trouve des arguments forts mais se prétendant est frais émoulu et donne toujours un reste.

Maîtresse Béline se mêle face à Angélique, afin que tout aille dans son sens, Angélique répond à chacune de ses insinuations.

Argan met fin à cette discussion, « ou Monsieur, ou un couvent » il ne laisse plus le choix !

Béline quitta la maison sous prétexte d’avoir une affaire en ville.

Argan demanda aux médecins toujours présents de voir comment il se sent. Tous deux font leurs petits diagnostiques.

Béline revint pour dénoncer la présence d’un homme dans la chambre de sa fille qui se sauva lorsqu’il l’a vit, ainsi que d’Angélique et sa sœur Louison.

Son père appelle sa fille Louison et demande si elle n’a rien à dire, la petite lui propose de lui conter des histoires qu’elle apprit depuis peu, il lui demande si elle n’a rien vu aujourd’hui elle répond que non. Il alla chercher une poignée de verges elle le supplie et se met a genoux. Par peur elle fait la morte pour éviter les coups. Elle a donc réussi à les éviter mais elle doit raconter se qu’il s’est passé. (L’homme dans la chambre d’Angélique était le Maître de chant, elle lui dit de sortir mais lui la complimente et se met à genoux, baisant ses mains, puis il s’enfuit à la venue de la belle-mère.)

Enfin voici l’arrivée de Monsieur Béralde frère de Maître Argan.

Il demande à son frère « comment vous portez-vous ? » évidemment « fort mal » Il ne comprenait pas vraiment. Maître Argan continu de se plaindre.

Frère Béralde veut proposer un parti pour sa nièce Angélique. Argan s’emporte immédiatement et menace de la mettre au couvent deux jours avant le mariage.

Béralde s’exclame « Ah voilà qui est bien : je suis bien aise que la force vous revienne un peu » Il annonce le divertissement qu’il a amené.

Moi discrètement demande à Monsieur Béralde de continuer d’empêcher se mariage chacun de notre côté nous agissons.

Lui pendant se temps discute au sujet de sa fille Angélique et le mariage, puis est venu les fameuses escroqueries, il arrive à le convaincre que la médecine ne savent pas guérir et que les seules choses qu’ils savent faire c’est répété se qu’il ont appris du roman de la médecine. Mais aussi leur excellence en art est un pompeux galimatias. Maître commence à voir la réalité sur cette médecine mais demande comment faire quand on est malade ?

Tous simplement « Rien » répondit-il. Argan avait enfin les pieds sur terre. L’heure arriva de sa piqure Monsieur Fleurant une seringue à la main .Monsieur Béralde interrompt le clystère préparé et cherche à convaincre de de pas suivre cette médecine.

Monsieur Fleurant s’en prend à Monsieur Béralde. Maître Argan lui n’y mettais pas de contrainte et s’opposer à son frère. A se même moment Monsieur Purgon arrive il décide de rompre son commerce avec Maître Argan. Argan lui se défend et essai de convaincre que se n’est point de sa faute mais celle de son frère. Moi, étant présente j’insiste pour qu’il arrête toutes médecines avec Son apothicaire et son médecin. Son médecin lui jeta pleins de malheur tout en utilisant des mots savant, personne ne comprenais se qu’il disait mais Argan était dépourvu et cria son sort. Pauvre Fou !

Argan croit être mort, son frère lui dit de se remettre en forme, mais il continua sa comédie.

J’annonce l’arrivée d’un médecin, étonnée je lui dis qu’il me ressemble comme deux gouttes d’eau, se nouveau médecin était moi déguisée. Je complimente puis je repart avec pour argument une commission pour un Vallet.

Je revint mais cette fois si en Toinette, Argan me propose de rester avec lui pour voir la ressemblance de se nouveau « médecin » mais je trouve l’excuse de l’avoir assez vue puis je repars. Me revoilà en médecin, le voyant me fixer, je lui demande l’âge qu’il me donne évidemment une vingtaine d’année je mens et lui dit que j’en avais quatre

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