La nouvelle fantastique cas
Par Raze • 8 Mai 2018 • 1 389 Mots (6 Pages) • 527 Vues
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Cette entité, causa de nombreux problèmes mal-saints, au bout de quelques mois, nos parents, prirent la décision insoutenable de divorcer pour une raison quelconque.
Un jour où j’étais en garde alternée chez ma mère, il était environ 6h 30 du matin, comme d’habitude je ne trouvai plus en moi la force de dormir, et descendis en bas regarder la télévision. Lorsque tout à coup j’aperçus le propriétaire de tous nos malheurs et le premier de la bâtisse au pied des escaliers, j’entamais une course sans merci à travers la maison prêt à tout pour attraper ce malfrat. Malgré son air boiteux, il courait plutôt vite, mais je le rattrapa sans problème. Je le saisis par le collet et lui frappa la tête contre le sol une bonne dizaine de fois (il le méritait bien après ce qu’il nous fut subir), il me supplia d’arrêter et me proposa de me raconter ce qu’il s’était passé :
« -Excusez moi, excusez moi ; je vais tout vous expliquer, le jour ou je fis construire cette vielle baraque…
-Enfin bâtisse.
-Oui, oui c’est pareil. Alors ou en étais-je ? À oui : donc, le jour ou je la fis construire, c’était le plus beau jour de ma vie, il faisait beau, et les maçons s’en donnaient à cœur joie. J’étais un bel homme, toutes les filles à mes pieds (enfin pour l’instant), marié, avec des enfants, 3, je faisais parti de la petite bourgeoisie. Quand la maison fut finie, elle était magnifique, avec ses colonnes de marbre importées d’Italie qui ont disparu aujourd’hui à cause des pilleurs ; D’ailleurs je ne sais même pas comment ils ont fait… On aurait dit la maison blanche de Washington, la même que celle de Lincoln, mais lorsque j’y fis un pas à l’intérieur pour la première fois, elle était sinistre comme possédée. La porte se claqua derrière moi, et une forme humaine blanchâtre et petite apparût devant moi, elle me fit sursauter. Elle me lança une poudre verte à la figure, et je sentis tous les muscles de mon visage se contracter et me fit un mal horrible. Je tournas la tête vers le miroir à ma droite et vu le visage que tu vois à présent. Enfin la forme mystérieuse disparût en me maudissant. Et de puis ce jour, je suis condamné à errer sans savoir trop pourquoi.
-je vois mais alors dans le fond tu n’es pas bien méchant ?
- En temps normal non, mais lorsque quelqu'un dérange ma relique la plus précieuse si !!! »
Et à ce moment précis, il me sauta dessus et une lute sans fin débuta. La clarté dans la maison sombre était impressionnante, on se serait cru en plein jour alors qu’il faisait nuit noire dehors.
Tout en lutant nous entretenions un dialogue mouvementé :
« -Mais pourquoi ?
-Qu’a- tu ?
-Pourquoi le spectre t’a t-il jeté cette poudre a la figure ?
-Parce que d’après lui, ou elle, j’avais fait construire sur un cimetière vodou et patati et patata…
-Tu n’y crois pas ?
-Et puis quoi encore ! »
Je lui asséna un coup fatal et il s’effondra et se réduisit en fumée.
Tout à coup, le spectre que la goule m’avait décrit apparût et déclara :
« - Merci de m’avoir libéré, ce monstre m’avait enfermé ; un jour où il me bouscula sans dire “veuillez m’excuser mademoiselle’’ (la formule de politesse normale) et lorsque je lui demanda de m’adresser des excuses, il pris la mouche et m’enferma dans une sphère magique. Mais tout cela est du passé maintenant, vivez sans crainte de me revoir et ne t’inquiète pas pour tes parents, je vais m’arranger pour que tout redevienne comme avant et pour les parents de ton ami aussi, ne t’inquiète de rien.
-tout ?
-tout.
-Merci beaucoup madame. »
Puis elle s’enfonça dans le sol et l’instant d’après des centaines de spectres surgissent du sol.
Ma mère et ma sœur descendirent en se plaignant d’avoir vu des fantômes mais je les rassurais que cela ne se reproduirait plus.
Vers 9h, mon père appela pour reconquérir sa belle et le lendemain au collège mon ami m’annonça sans que cela ne me surprenne trop que ses parents aussi s’aimaient de nouveau.
Et enfin, nous repassâmes
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