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LECTURE ANALYTIQUE : L'horrible danger de la lecture, Voltaire, 1765.

Par   •  6 Novembre 2017  •  1 474 Mots (6 Pages)  •  940 Vues

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Le recours à la police politique implique aussi un pouvoir qui repose sur la terreure et la répression.

Cependant il est conscient que son pouvoir, étant exercé par la force peut être renversé par peu, il a donc peur : " craindre " l 10, " les dangereuses vertues " l 20. Il sait que la connaisance le renversera, et donc qu’il perdera sa place priviliégié. ce qui explique pourquoi il refuse le progret, détruisant donc la capacité de jugement, les progrets publics ...

SON DISCOURT ABSURDE :

La Justifications de ses articles :

Les raisons pour interdire l’imprimerie, la lecture et les livres, riment toutes avec contraductions et incohérenses.

Chaque argument présente d’abord les avantages de l’imprimerie, ( ce qui est en soit une première incohérence ), puis le chef religieu les nies.

Par exemple dans l’article 1er, Joussouf-Chéribi utilise un language mélioratifs pour l’imprimerie faisant un 1er contre sens, ensuite il explique interdire la lecture et la culture car l’ignorance serait le gardien des" Etats bien plicés ", cependant, comment être civilisé sans le savoir, sans l’ " Esprit ".

1) dissipation de « l’ignorance » (lignes 10-11)

2) amélioration de « l’agriculture » , l’industrie progrès (lignes 13-17)

3) diffusion de l « ’Histoire » objective favorise la réflexion (lignes 19-22)

4) diffusion de la philosophie des Lumières: « éclairer les hommes » (lignes 24-26)

5) remplacement de la superstition par la vraie religion (lignes 28-30)

6) progrès dans la médecine. (lignes 32-34)

L’auteur justifie l’édit avec de nombreux argument, contrairement aux vrais édit, ici Joussof se sent obligé de se justifier, prouvant que l’auteur lui même à du mal à se convaincre.

Une progression vers l’absurde :

Tout au long de l’oeuvre nous assition à un lent plongeon vers l’absurde et l’incohérent, qui suit la sturcture des paragraphes :

les deux premiers, les plus simples reste compréhensible, il y quelque contre sens, des imprécisions, des exagérations... mais cela reste relativement simple à suivre.

Ensuite vient la série d’article, déja on sens un gros problème dans le discout de tyran, il fait exactement l’opposé du message qu’il souhaite faire passer en faisant l’apologie des lumières, deplus plus les articles s’enchaine moin on sens la logique et les interet du tyran, les articles deviennent de plus en plus flou, incompréhensible.

Les deux dernier articles sont donc en quelque sorte le " bouquet final ", puisque suivant sa propre logique, Joussouf fait une gradation d’interdiction, en commancant ligne 24-25 par interdire le lecture, "sous peine de dambation éternelle" ( hyperbole ), il interdit ensuite l’éducation faite par les parents ligne 26, créant donc une société sans éducation, si ce n’est celle des religieux qui manipule le peuple ( rejet de l’obscurentisme reliegieu ), dans la suite du paragraphe il interdit dit même le droit de penser ainsi qu’à la parole.

Dans les deux dernière ligne, il ne diserne plus une idée et la personne qui la véhicule faisant ainsi une personnification ligne 35, l’homme semble avoir désormet avoir completement perdu pied avec la réalité.

Conclusion :

Joussouf-chéribi devient vite un personnage très ridicule, un tyran qui nuit à son propre peuple, qui se présente comme un haut dignitaire religieux, et pourtant souffre d’énormes faiblesses, parfois juste de l’ignorance ou un manque de culture mais aussi un problème de logique et de compréhension, il se discrédite lui-même avec des arguments mals choisis ou mals exprimés ... au fils du texte il devient même un fou dangereux .

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