Commentaire du texte de Balzac

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Tous ces éléments nous ramène à l'amour dont on peut noter le champ lexical : « faveur », « plaisir » l 20, « passion » l 21. On remarque aussi la présence de mots comme « feu follet » (l 14) qui, ici pourrai symbolisé la petite flamme de l'amour qui ne s'éteint jamais mais qui rétrécit, et aussi « friandises » (l 20), « goût » (l 23) et « mets sucrées » (l 23) sont des mots évoquant le plaisir et les sensations.

Donc leur amour est tragique à cause de la femme qui a changé totalement et s'est transformé. Son esprit n'est plus le même et on la traite comme un animal. Mais, a-t-elle le comportement d'un animal ?

On peut encore commencer par l'incapacité de la femme à reconnaître son amant se qui montre qu'elle n'est plus elle même. Elle semble perdu se qui l'amène a se comporter comme un animal, une bête sauvage.Le fait qu'elle grimpe aux arbres (« elle se sauva de l'ébénier sur un acacia » l 5), qu'elle se balance de branche en branche aisément (« où elle se balança de branche 'en branche avec une légèreté inouïe. » l 6) et qu'elle se méfie des étrangers (« elle se sauva » l 5, « pour épier l'étranger » l 15, « d'un pas lent » l 16) nous confirme son côté animal mais nous fait surtout penser a un singe qui, sans égal, se rapproche le plus de l'homme. Son traumatisme est dût à l'enfer qu'elle a enduré pendant la guerre, Balzac montre, ici, les ravages que peut causer les guerres et les conflits mentalement.

Autre preuve que la comtesse a sombré dans la folie : la considération que lui porte le colonel. Il la traite, avec son ami, comme une personne pas normal, qu'il faudrait apprivoiser, dresser ou, comme un enfant qu'il faut éduqué : « je vous aiderai à vous faire connaître et à l'apprivoiser » l 8-9, « ne faites point attention à cette pauvre folle » l 9. Ils en viennent même à l’appâter avec de la nourriture qui est, ici, un de ses besoins primaires : le sucre (« lui donner des friandises. » l 20, « À l’aide du sucre, qu’elle aime avec passion, vous l’habituerez à s’approcher de vous et à vous reconnaître. » l 21-22). Malgré se que l'on peut pensé, Balzac notre montre une vrai leçon de vie. Isolé on ne peut rien faire, mais à plusieurs on peut aidé les autres à se relever, se redresser. Le personnage principal fait preuve d'un amour fou pour cette femme, elle a changer et il n'y a plus rien que l'on puisse aimer d'elle mais il veut la sortir de là pour la retrouver comme d’en-temps, alors qu'il aurait pu la laisser sans rien faire et l’abandonner.

L'amour est une grande chose qui ne se prend pas à la légère, même si l'on est un couple aux comportements différents on peut éprouver ce sentiment cette sensation.

Si on se réfère à ce qui a été dit ci-dessus, ce couple est donc une histoire d'amour entre un colonel et un animal. Ce qui est, serte, dérangeant mais en faite, il se trouve qu'il est plus amoureux de la personne enfouis dans cette esprit corrompu et non de l'animal en lui même. Ce qui ouvre à une toute autre perspective, cet homme serai donc prêt à renoncer à une autre vie pour la consacré à essayer de faire retrouver la mémoire à sa dulcinée. Ce qui est, en-soi, une énorme preuve d'amour, un amour parfait qui se fiche des conséquences et des sacrifices. Tout ce qui importe pour l'homme amoureux c'est de le rester ou, si son amour a été perdu, c'est de le retrouver. Mais alors ce couple est-il si différents des autres ? La comparaison de Stéphanie de Vandières avec un feu follet « en voltigeant comme un feu follet » l 14, signifie que Stéphanie est la petite flamme qu'il reste à Philippe, le dernier espoir. Si elle s'éteint alors lui aussi s'éteindra.

L'amour peut t-il perduré alors que les deux individus s’aimant ont changés ?

La réponse à cette question est serte très compliqué à émettre mais oui, l'amour peut perduré alors que les deux individus s’aimant ont changés. Balzac le démontre très bien dans son texte « Adieu » en mettant l'accent sur les comportements différents d'un couple. Il montre la femme comme un animal à apprivoiser pour pouvoir conquérir son amour et la détermination