Anne Hébert "L'enfant chargé de songe"

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chambres contigües, aux murs de sapin bruni, sous les combles, un instant triste comme si Pauline tentait de leur voler jusqu’au souvenir de leur après-midi merveilleux au village. Ils se consolèrent pourtant presque tout de suite car dans leur fraîche mémoire, jusque dans leur sommeil, se dressait encore et encore un cheval de haute voltige, monté par une créature fabuleuse. »

J’en déduis d’Anne Hébert avait un style d’écriture bien à elle puisqu’elle avait de la facilité à démontrer un dur moment d’une histoire, sans trop tombé dans l’exagération. Par exemple, elle arrivait à raconter un moment noir (dans lequel Julien et sa sœur étaient déprimés) en y incluant toujours une petite lueur de joie, d’espoir ou de positivisme (dans façon dont ses personnages oublient le certain désagrément).

On peut alors effectivement comprendre que cette écrivaine nous offre l’espoir face aux ténèbres tout en écrivant ses livres noir en plein soleil...

Partie 4_ Conclusion.

b) Quelle est ton appréciation de ce roman?

En conclusion, je n’ai pas très aimé l’histoire de ce roman qui me faisait beaucoup réfléchir, car je préfère définitivement les histoire d’actions, d’aventures ou tout simplement les traditionnels romans policiers. De plus, ce qui ne me poussait pas à continuer ma lecture est que j’ai trouvé qu’il n’y avait carrément aucune intrigue et qu’ainsi, Julien vivait une vie normale avec des hauts et des bas quotidiens (positifs ou négatifs).

Malgré cela, j’ai tout de même continuer ma lecture puisque j’ai bien aimé la façon dont le texte était disposé dans les pages du roman (en plusieurs petits paragraphes), ce qui me facilitait grandement à comprendre les lieux et les actions de l’histoire.

Finalement, comme je l’ai mentionné au tout début, je vois très bien le lien entre Anne Hébert et ses

livres: Elle passe en revue des sortes d’amours (meurtres, etc.), elle est marqué par sa mère qui rêvait d’aller à Paris d’un point de vue littéraire et elle s’inspire de son adolescence et de sa jeunesse qu’elle revoit sans cesse.

Alors, peut-être que la prochaine fois lirons-nous un roman d’action ?