Primo Levi - biographie
Par Plum05 • 13 Septembre 2018 • 1 044 Mots (5 Pages) • 479 Vues
...
L’hiver revient, et les prisonniers doivent faire face à « La Sélection ». C’est à ce moment que Levi réalise que la vie au Lager tient à la chance et qu’elle est vite remise en question. Car lors de l’inspection sa fiche avec inscrit son nom et sa profession de retrouve dans la pile droite, ceux qui vivent. En 2 minutes leurs vies sont jouées.
Alors que le froid se fait de plus en plus sentir, les résultats de l’examen de chimie tombe. Levi fait parmi des 3 élues qui auront la chance de travailler au chaud durant l’hiver dans le laboratoire. Mais il n’oublie pas son ami Alberto qu’il décide d’aider en lui donner un peu plus de nourriture. Levi nous montre qu’il n’a pas perdu toute son humanité.
Le 11 Janvier Levi est envoyer une nouvelle fois au KB, les malades commencent à parler de la libération entre eux. Le 17 Janvier les valides quittent le camp de Buna, Alberto vient dire un dernier au revoir à son ami, Levi après quoi il a disparu.
Il ne restait plus que 11 personnes au KB.
Le 18 Janvier le camp fut bombardé par les russes, ce qui pousse les allemands à quitter le camp en laissant tout derrière eux. Entre le 18 Janvier et le 27 Janvier Levi s’est battu pour rester en vie avec ces compatriotes. Le 27 Janvier 1945 les russes rentrent dans le camp c’est la Libération. En 1o jours parmi les 11 malades, 1 seul mourra.
Analyse de l’œuvre
Thème : travail, sentiments
A aucun moment Levi exprime sa haine envers les allemands, et ne ressens à aucun moment un sentiment de vengeance. Lors des interviews il ne manque pas de préciser le rôle de son livre qui n’est pas de « juger » les allemands ou même de « juger » les actes de ces derniers mais de « témoigner » ce qui se passait en camp.
Problèmes abordés : comment survivre au camp, il dédie tout un chapitre aux manigances établie dans le camp pour survivre face au froid et a la faim.
Page 67 : « C’est dans ces dures conditions, face contre terres, que bien des hommes de notre temps ont vécu, mais chacun d’une vie relativement courte ; aussi pourra-t-on se demander si l’on doit prendre ne considération un épisode aussi exceptionnel que la condition humaine, et s’il est bon d’en conserver le souvenir.
Eh bien, nous avons l’intime conviction que la réponse est oui »
Page 90 : « Les souvenir de notre vie d’autrefois nous revenaient encore, mais vaporeux et lointains, et par la même pénètrés de douceur, et de tristesse comme le sont les souvenirs de la petite enfance et de toute chose révolue. »
Page 95 : « C’est à Lorenzo que je dois de n’avoir pas oublié que moi aussi j’étais un homme »
...