Méthodologie de dissertation.
Par Christopher • 17 Juin 2018 • 951 Mots (4 Pages) • 490 Vues
...
II) les nouvelles technologies : soutient ou manipulation des souvenirs
- Pour mes souvenirs les nouvelles technologies s’occupent de tout
Cf : Le texte.
Les réseaux sociaux, les logiciels internet, smartphones se développent, les traces numériques se multiplient et reste présente sur la toile à très long terme. Ces nouvelles logicielles et nouvelles applications répondent aux fantasmes de mémoires infinis contrairement à la mémoire humaine qui ne conserve que des traces ou des souvenirs reconstruit du passé. Internet peut toujours refaire apparaître ce passé intacte tel qui l’a été publié sous forme de photos, vidéo ou écrit… mais ce qui apparait sur le web et notamment sur les réseaux sociaux comme Facebook n’est vraiment jamais effacé éventuellement rendu invisible si on le demande et encore ce droit à l’oubli s’avère Facebook
- Pourtant l’oubli est parfois nécessaire
La mémoire humaine ne peut pas tout retenir mais est-ce un problème ? Marc AUGE « les formes de l’oubli » défends l’idée que pour se souvenir il faut savoir oublier. Sinon comme le disque dur saturé d’un ordinateur on n’enregistrerait plus rien, les évènements clisserait sur nous sans laisser de traces. Il y aurait alors un devoir d’oubli comme il existe un devoir de mémoire. En effet, selon l’auteur pour créer un commencement notre « ambition est de retrouvé le futur en oubliant le passé, de créer les conditions d’une nouvelle naissance ». « La mémoire et l’oubli sont solidaire tout deux nécessaire au plein emploi du temps ». Or le numérique semble menacé cette possibilité d’oublier (cf : corpus 1 les nouveaux médias et l’oubli). En 1995, l’UE a adopté une directive sur la protection des données personnelles permettant de réglementé des données à caractères personnelles ainsi que leur libre circulation. En 2010, apparaît en France une charte du droit à l’oubli numérique dont ni Facebook ni Google ne sont si signataire. Cette charte prévois notamment que les signataires s’engage à « proposé un moyen afin de pouvoir demander la modification ou la suppression de toutes données personnelles publiées ». Mais le « droit à l’oubli numérique » inquiète les historiens comme l’indique le titre de l’article du Monde paru le 06/08/14 de Fabienne Dumontet.
Le droit à l’oubli donne le droit à la connaissance (cf : total recall & la généalogie de NIETZSCHE)
III) Le souvenir, réminiscence ou affirmation de soi
...