Les plaisirs et profits d'un roman
Par Raze • 23 Novembre 2018 • 1 173 Mots (5 Pages) • 736 Vues
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De plus, un bon roman nous garde la chance d’en tirer des profits en plus du plaisir qu’il nous procure. D’abord la lecture entraine notre cerveau. Tout livre qui tient une énigme ou même seulement une intrigue stimule notre cerveau et le pousse à réfléchir plus que d’habitude. Plusieurs fois le lecteur essaie de devancer l’auteur et essaie de deviner ce qu’il voulait en revenir avec un tel sujet ou tel phrase. De davantage, des études qui ont pris place à l’Université de Californie, montre en outre que la lecture contribue de manière significative à la qualité de vie d’un malade en plus de prévenir la maladie elle-même. « L’étude de l’Université de Californie Berkeley démontre que la lecture d’un roman régulièrement dès le plus jeune âge peut aider à prévenir l’Alzheimer parce que quand nous faisons cette activité, la formation de plaques amyloïdes (protéines) qui existe dans le cerveau est entravée. » en lisant, le lecteur essaie de deviner ce qui va se passer et cette pensée n’a aucune limite.
L’un des meilleurs profits que l’on peut tirer de la lecture est l’opportunité d’enrichir notre vocabulaire. La lecture est un moyen sur pour acquérir un vocabulaire nouveau et riche. Chaque auteur a son style personnel, des mots qu’il utilisera plus souvent que d’autre dans plusieurs de ses ouvrages. En tant que lecteur, explorer plusieurs style n’est qu’une façon de plus d’agrandir notre bibliothèque personnelle de mots. Prenons le roman, La bête humaine, dans lequel Émile Zola utilise des mots simples, mais précis et scientifiques. Un professeur de littérature discute également que : « La réussite d'un élève dépend énormément de son vocabulaire, autant dans ce qu'il comprend en lisant que dans sa manière de raisonner par écrit, et il n'y a absolument pas d'autre moyen d'acquérir un vocabulaire étendu que de lire. » Son ouvrage reflète un parfait mixte d’un peu de tout, de mots sombre mais excellents d’un point de vue vocabulaire.
En réalité, il y a beaucoup à apprendre d’un roman. La lecture permet à l’homme de s’intégrer dans la société en lui inculquant des valeurs et des normes. Certes, la télévision, l’internet, le media est rempli d’information sur des cultures différentes, mais reste qu’ils ne peuvent l’expliquer comme le peut un livre. Comme mentionner précédemment, The kite runner, est culturellement très riche. Ce roman raconte une histoire qui se passe en Kabul et représente la race des Hazaras qui appartiennent seulement au Hazarjat. Bref, un bon roman nous introduit toujours à une culture nouvelle, sinon ne fait qu’élaborer les connaissances que l’on possède déjà.
Un bon roman est donc un univers qui renferme des bénéfices illimités, dont le plaisir et les moyens d’apprentissage. La lecture n’a qu’à des avantages. Elle est le meilleur moyen de développement mental et de l’expression orale, ainsi d’être la source de développement des fonctions cognitive dans des proportions étonnantes. Pourtant il semble que cette excellente source soit menacée par les médias moderne, c’est notre responsabilité de préserver ce trésor et d’en ressortir le plus qu’on peut dans sa lecture et analyse.
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Bernard, Mirgain : preambule du professeur http://bmirgain.skyrock.com/3144388048-LIRE-UN-ROMAN-ENGAGE-LE-LECTEUR-Dissertation.html
Bertran, Gervais, la mort du roman, UQAM http://www.archipel.uqam.ca/572/1/Mort_du_romanbg.htm#_ftnref5
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