Le recueil de chants d'ombres
Par Ninoka • 30 Novembre 2017 • 882 Mots (4 Pages) • 714 Vues
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« Tout le long du jour » page 13
C’est un poème qui indique du Sénégal, précisément l’atmosphère d’un Sénégal par ses voix terrestre et ferroviaire.
« Nuit du Sine »
C’est la première représentation d’une atmosphère Nocturne durant laquelle la femme est actrice et animatrice principale.
Ce poème permet à Senghor de mentionner le rôle ou la fonction de la femme africaine au foyer, le refuge de l’homme et de l’enfant. De même ce poème permet aussi d’évoquer l’un des mystères du continent Africain ; communion entre les vivants et les morts.
« JOAL »
C’est le plus beau souvenir du poète : il permet à Senghor de se souvenir de son village natal qui offre la belle vie, l’animation où toutes les cérémonies traditionnelles sont respectées (funérailles, combats de luttes…)
« Femme Noire »
Ce poème donne à Léopold Sedar Senghor de célébrer la bonté incarnée par la femme africaine. La particularité c’est qu’il insiste sur les valeurs esthétiques. Mais aussi sur les organes de sens avec ou à travers des images relatives à la sensation. Femme Noire, Senghor insiste aux devoirs physiques pour valoriser la couleur noire.
« Prière aux masques »
C’est un poème qui marque un rituel : c’est une prière adresser aux ancêtres et symbolisées par les masques. C’est un tr »s long poème qui évoque de manière alternative l’Europe et l’Afrique. Le poète Senghor, un métisse culturel et un être divisé parce qu’il situe son destin à la croiser de deux mondes complémentaire.
CONCLUSION
Si le début du recueil est dominé par la négritude, la fin s’oriente vers la négritude de combattre.
En effet, Senghor commence par la décence et termine l’œuvre par une illustration d’un engagement du poète de lutter contre un vieux présage. Chants d’Ombre est un recueil de Senghor les plus fascinant où il est souvent partagé entre une mère africaine douce, mystérieuse et un père adoptif.
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