Francais, question de corpus, Musset, Sand, Marbeuf, Apollinaire, Breton.

...

On peut conclure que lors de cette partie nous avons pu voir que les auteurs ont chacuns une méthode de demontrer l'amour de la femme, figure de style, description etc..

Dans un second temps, on peut constater que ces textes évoquent l'amour des mots.

Dans un premier lieu, on peut remarquer que les auteurs démontre l'amour des mots en faisant passer des messages a travers les mots. En effet, dans le texte de Musset , on peut voir qu'il ne parle pas seulement d'une femme mais aussi d'un sentiment, comme ont peut le voir au vers 3 : « Amour, mon bien suprême, et que j'avais perdu! », ici il ne parle pas de femme mais du sentiment de l'amour qu'il avait perdu. De plus, dans le poème de Pierre de Marbeuf,, on remarque qu'il y a des ressemblances entre la mer et l'amour : « en partage », « aussi bien », « tout deux » ; comme on peut le voir au vers 4 et 8 : « sans orage » qui nous fait penser que l'amour n'est rien sans les mauvais moments a passer et « naufrage » qui est un dangers communs dans le deux cas ; une mer tourmentée devient une métaphore de l'amour et ses dangers, va et vient de la Mer. On remarque aussi que l'amour est remplacé par « le feu » et l'eau par « la mer », où l'eau ne parvient pas à éteindre le feu de l'amour. Enfin, dans le texte de Apollinaire , on remarque qu'il joue avec les rimes et les mots comme par exemple : « artillerie » qui rime avec « chérie ». Il utilise aussi une forme en acrostiche ce qui rappelle l'amour du poète.

Dans un second lieu, on peut voir que les auteurs on chacuns leurs types de poèmes. En effet, dans le poème de Pierre de Marbeuf, on remarque qu'il utilise de nombreux champs lexicaux de « la mer » six fois et de « l'amour » huit fois. On remarque aussi que les répétitions sont parallèles aux deux premiers vers, on peut voir qu'il y a un chiasme , des anaphores comme par exemple : « et la mer » , « et l'amour » mais il y a aussi des paronomase comme par exemple « l'amer » et « la mer ». De plus, dans le poème de Apollinaire, on remarque que le poème semble être sous forme d'une chanson comme on peut le voir au vers 3 qui est reprit au vers 12 : « Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord » et au vers 8 qui est reprit au vers 14 : « On va rentrer après avoir acquis du zan » , ces vers pourraient nous faire penser à un refrain. Nous pouvons aussi remarquer que la reprise des chiffres : « Une, deux, trois », installe un rythme. Enfin, dans le texte de André Breton on remarque qu'il n'a pas de strophes, ni rimes et que c'est en vers libre qui pourrait nous faire penser à une prière ou une chanson. Contrairement au texte de Musset qui est un exemple de poème classique, ces textes ne sont pas classique.

On peut conclure que lors de cette partie nous avons pu voir que les auteurs utilisent des méthodes différentes pour démontrer l'amour des mots, comme le type de poème, et les figures de styles.

Tout au long de cette analyse, nous nous sommes interrogés sur la question suivante : « Ces textes évoquent-ils l'amour de la femme ou l'amour des mots ? ». Ce qui a conduit à montrer que les auteurs évoquent l'amour de la femme dans un premier temps, pui les auteurs évoquent l'amour des mots dans un second temps. Lors de cette étude nous avons pu remarquer que chaques poètes évoquent l'amour de la femme que ce soit subtil ou non, et évoquent l'amour des mots en utilisant plusieurs métaphores, et d'autres figures de styles.