Roman réaliste et naturaliste
Par Junecooper • 25 Octobre 2018 • 1 309 Mots (6 Pages) • 428 Vues
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sont divers et c’est le point de vue interne qui est souvent priviligié. Cela crée une promixité entre les sentiments du personnage et les réactions du lecteur, même si deux cents ans les séparent.
Phrase de transition préférable : S’il est vrai que les romanciers du XIXème maîtrisaient le techniques littéraires afin de capter l’attention de leurs lecteurs mais aussi du lecteur d’aujourd’hui, il faut cependant admettre que parfois la temporalité éloigne le lecteur du XIXème siècle de la réalité dépeinte dans ces œuvres.
C’est vrai c’est difficile de se sentir concerné par les romans du XIXème
Arg 1 : des thématiques qui sont liés aux problématiques sociales de l’époque : quand Zola ecrit Germinal il fait carrément des enquêtes de terrains, c’est un travail minutieux où la réalité est quasi exacerbée.
Dvpmt : Le réalisme et le anturalisme exprime avant otut une vision du monte portée par le regard du romancier de l’époque. Or le monde a changé en deux siècles. En effet, si les mondanités parisiennes font parties des thématiques privilégiées des romans réalistes, les normes sociales ont, elles, changé. Les distinctions sociales ne sont plus aussi nettes qu’avant. Les codes sociaux décrits – voire dénoncés – dans ces œuvres ne sont plus ceux à travers lesquels le lecteur d’aujourd’hui évolue et peut se reconnaitre. Par exemple, ces normes paraissent aujourd’hui exacerbées dans Le Père Goriot, pour un jeune lecteur contemporain.
Ceci est d’autant plus fort pour les œuvres naturalistes qui procèdent à la manière d’une expérience scientifique. Et pour preuve, Emile Zola à la tête de cette école, faisait des enquêtes sur le thème qu’il désirait aborder. Par exemple dans Germinal….
Arg 2 : Toutefois certains héros romanesques ne permettent pas au lecteur de s’identifier : ils sont trop négatifs, parcours de vie trop pessimiste. C’est le cas de beaucoup de romans réalistes du XIXe, ou même des héros romantiques qui sombrent dans la mélancolie. (Nana de Zola ou Une Vie)
Les modes d’écriture des siècles passés nous laissent parfois indifférents, ennui en les lisant. Les longs portraits détaillés des romans réalistes : une mode qui n’intéresse plus. (Pierre et Jean) ou encore la fastidiosité des descriptions dans BDD Zola.
Conclusion : Meme si le contexte historique est deconecté -> interessant de se situer à une autre époque. Les artistes et romanciers qui ont dépeint la société dans laquelle ils évoluaient , intérêt de comparer pour un jeuen lecteur ce que c’était de vivre sous un autre régime, dans une autre époque => l’occasion d’apprendre et d’appréhender le passé d’une façon ludique ex PAIN AMER Marie odile asher sur l’URSS. Ne pas oublier la fonction de distraction, s’épanouir dans un monde autre que le sien = dépassement de l’ambivalance se reconnaitre dans le contexte du livre qu’on tient dans les mains.
Therèse raquin emile Zola : une orpheline élevée par sa tante -> mariage forcée : manque de liberté et de lirbre arbitre. Histoire d’amour = révolte -> meurtre du mari /cousin = drame -> ils seront obsedés par cet acte… => apport à la dissert : naturalisme semble peut être dépassé, le côté approche scientifique/enquête socio peut l’emporter sur le côté romanesque de l’œuvre ce qui rend plus difficile pour un lecteur d’auj de se sentir concerné.
Lectures personnelles :
Les misérables : realiste -> JVJ pdt rev fr, entourés de culotte rouge. Decriscption des émotions -> poitn de vue interne etc…..le réalisme = ce qui fait décourir aux lecteur sl’itnériorité du personnage dont les traits de caractères peuvent ê intemporels.
Le père Goriot, BALZAC : roman d’apprentissage : un jeune héros arrive à Paris om il fait son initiation dans les sphères mondaines. // histoire d’un père delaissé par ses deux fille singrates qui consacrent tout leur temps à ces mondanités et pas à leur père. Sujet qui peuvent toucher encore aujourd’hui.
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