Résumé de l'heure des vaches

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- Deux insulaires en Abitibi – Félix-Antoine Savard

CE FUT en maj… ça va être un conte, une légende ? Jeunes de l’île au Coudre- marsouins arrivent en colonie. Le travail se faisait comme un jeu, mais le soir ils meurent d’ennui. Ils se désennuient de façon vertueuse au lieu de succomber au divertissement diabolique de la ville : ils disent des contes, dansent, parlent de l’île. Ils construisent une barquette. Ils chantent et dansent, s’élèvent plus haut que leur ennui (vertu). C’est un pays enchanté (121).

- Au pays des montagnes – Françoise (Robertine Barry)

L’histoire de Justine Lozier et Antoine Chabal. Les 2 sont amoureux depuis tjrs, mais amour impossible pcq Antoine est pauvre. Il hérite d’une terre en région éloignée. Justine raconte leur histoire à une citadine. Effet miroir la gentille et douce campagnarde et la méchante citadine sans façon. Campagnarde = héroïne (128); pure et sainte (129). La citadine ne comprend pas le choix de JL, « vous n’allez pas manquer le confort, le bon voisinage et les veillées? ». Décalage.

- Les foins – Albert Laberge

La pluie dévaste les récoltes. Les nuages en forme de corbillard (mort), un homme se pend. Les prêtres ne cessent de prier pour le beau temps, il revient finalement après un mois. On fait les foins, l’animalité et forte odeur de sueur (133). Une irlandaise (seule femme du chantier, qui travaille très dur) fait des avances à Charlot (fermier). Ils font le geste des races et ce fut la seule aventure d’amour de Charlot (134).

- Le bonhomme Thérien – Damase Potvin

Le bonhomme Thérien est mort, tout le monde le pleure et pleure son sort. Des méchants monsieurs de la ville, des ingénieurs (innovation, c’est mal) sont venus acheter des terres à St-Julien. Fait penser un peu à L’ALAMBIC. Ils veulent construire une usine pour des GROS AMÉRICAINS. Therrien ne veut pas vendre sa terre. On lui offre 1000$, il refuse en pensant pouvoir obtenir 2000$. Les légumes de son jardin semblent lui reprocher son intention (hahaha). Finalement, il demande encore 2000$. La cie refuse et obtient du gouvernement qu’on l’exproprie avec dédommagement de 500$. Il tombe malade. Le paysage devient triste et morne. Il va jeter les 500$ reçus de haut de la chute, devient fou. Les villageois lui offrent une maison et une terre. Il meurt d’un rhume. SOLIDARITÉ, MORT, VILLE = DÉCHÉANCE

- Un charivari – Léo-Paul Desrosiers

Le docteur Xavier-Narcisse Gervaise est mort, à Berthier. Dr. Daniel-Emmanuel Bonald le remplace, il semble snob (vouvoie), fait tourner les têtes des dames, n’est pas accoutumé aux manières de la campagne et n’est pas vraiment apprécié. Il courtise la veuve de l’ancien doc (pour sa fortune selon les villageois) et ils se marient. Les villageois leur font un charivari (rituel, faire du bruit, on le fait pour les nouveaux paroissiens : on doit recevoir les charivariens à boire un coup pour qu’ils s’en aillent). Le charivari dure 4-5 jours et les charivariens s’accumulent. Le prêtre n’en peut plus et demande à Bonald de les recevoir. Dr Bonald n’a pas d’$ pour offrir à boire et ne veut pas demander à madame. Finalement, elle comprend et fournit l’alcool. Bonald se fait une clientèle et devient député.

- La parité de dames – Jean-Aubert Loranger

Tremblay et Blanchette jouent aux dames. Moment de convivialité, de taquineries et de belle vie.