Pensée de Blaise Pascal, Lecture analytique

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- accumulation, énumération (l1.2) qui emplifient

-de même hyperbole ligne 4 « Tout le malheur » ligne 10 « Tous les malheurs »

-contraste ou paradoxe tout différent une seule (l.4)

-métonymies (l.6-7) aller sur la mer = partir à l'aventure ; siège d'une place = faire la guerre

-oxymore (l.18) félicité languissante

- la généralisation déjà observée à partir des pronoms personnels se poursuit à partir de la ligne 12 « votre condition ». Pascal dépasse son propre point de vue et prend un tout plus impersonnel pour développer son exemple du roi sans que sa thèse les concerne aussi.

III. L'illusion des divertissement. Pascal critique voire condamne

- Une notion très vaste : l'expression vague « diverces agitations des hommes » peut couvrir tous les champs d'activités » : travail, amour, voyages, sauté, famille etc. Mais, s'adressant aux lecteurs de son époque (nobles, bourgeois) il parle surtout de la cours du roi et de la guerre. Enfin à la fin le divertissement est associé au jeu (l.21) Pascal juge que le divertissement n'est pas sérieux ».

- Une fuite par rapport à la réalité.Le malheur est jugé « naturel » (l.18) aussi les divertissements évitent de penser (l.13)

- Cette illusion s'appuie fortement sur l'exemple du roi (le roi soleil). Le monarque est censé être l'homme le plus heureux du royaume. Pascal joue sur ce paradoxe : l'homme le + admiré de son temps reste un simple mortel sujet à l'ennei, l'angoisse et la mort. Ainsi le Hommes sont tous égaux.

Conclusion :

Pascal nous a aonsi montré, par une argumentation construite que l'Homme ne peut accéder au bonheur, du fait de sa misère, il nous donne une vision tragique de la condition humaine. Il veut nous montrer ce que l'Homme refuse de voir, ce que nous refusons de voir. Ainsi, le divertissement cache notre condition misérable. Le texte de Pascal nous oblige à réflèchir sur nous-même : Quel est donc le rapport de notre société d'aujourd'hui au divertissement ?