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Les angoisses d'Anne de Guilleroy.

Par   •  27 Novembre 2017  •  1 193 Mots (5 Pages)  •  708 Vues

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plus les années sont ses deux angoisses se trouvent rassemblées dans ce passage. Il y a un glissement dans ce texte entre avant et aujourd’hui : « si proche » (ligne 7), « maintenant » (ligne 10), il y a opposition constante entre ce qu’elle éprouve en elle et ce que lui renvoie le miroir : les lignes 29-30 → décrive ses capacités intactes par une métaphore filé de la nourriture à partir de la ligne 30. On voit à la ligne 35 qu’elle se sent encore apte à le faire mais le désaccord avec son corps. Tout cela crée chez Anne des angoisses.

Axe 2:

Ce qui concerné hier était plutôt joyeux : ligne 35 (énumération) , et la ligne 37 montre son désespoir.

Le texte montre ses angoisses et la souffrance d’Anne : « Tout l’accablait » (ligne 1), « la torturaient » (ligne 12), « les angoisses de son âmes » (ligne 21), « une douleur » (ligne 23), « ce poids de misère qui l’écrasait » (ligne 27, c’est une métaphore), « une souffrance physique » (ligne 43), « la terreur » (ligne 54). L’angoisse est une peur immatériel, c’est la capacité à ce projeter de façon pessimiste : on voit cela des lignes 15 à 20 → Le temps des verbes le signal, aux lignes 17-18 il y a une gradation descendante pour le temps mais ascendante pour la souffrance et l’angoisse.

Cette question du temps est la thématique du texte, Anne est obsédée pour le temps : « sa pauvre chair malade continuait de s’altérer » (ligne 20 qui est une métaphore c’est juste l’âge qui fait son ouvrage), on remarque un champ lexical de la vieillisse : « vieillir » (ligne 17), « vieilli » (lignes 37 et 40, « cette décadence » (ligne 42), « vieillissement » (ligne 46). Une métaphore désigne la vieillesse aux lignes 40-41 et 50 → Même thématique corps comme un vêtement. Maupassant essaie de coller le plus fidèlement possible au personnage.

Comparaison : « comme celle du froid ou de la chaleur » (ligne 47 + hyperbole), « Comme un être atteint d’un mal » (ligne 53-54). → Anne le vie très mal.

Anne a une obsession mentale : « Ces idées ne la quittaient plus » (ligne 22), « cette obsession harcelante » (ligne 27-28), « la hantise » (ligne 42), « L’idée fixe » (ligne 45), « Cela devient une maladie, une possession » (ligne 66 + métaphore).

Anne passe son temps à se regardé, ce qui touche à la folie : « un besoin » (ligne 56), et toute la fin du texte montre sa folie : ligne 57 ( énumération), ligne 58 (allitération) → Anne ne connaît pas de répit : « soit chez elle, soit ailleurs » (ligne 62), « accrochée comme par une main » (ligne 64) → gradation descendante d’abord les miroir ensuite les reflets puis le tout petit miroir.

Ce qui passé pour un malaise passagère se transforme en obsession et Anne est une femme inquiète et angoissé.

Conclusion :

On voit que Maupassant traque les obsessions de son héroïne, il est impitoyable car il va montrer le processus du vieillissement sur une femme qui n’a que l’apparence pour se faire valoir. Il y a une thématique du double : la gloire et la déchéance, de la femme délaissé et le fait qu’Olivier Bertin à des yeux que pour sa fille. Cet examen précis des sentiments donne une dimension réaliste au texte. Il y a la hantise de l’âge et montré l’université de se sentiment car Olivier Bertin éprouve aussi ces angoisses. Maupassant évoque la présence d’Annette puis au final Oliver tombe amoureux d’elle alors qu’il le refuse.

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