Lecture analytique, Primo Lévi, Si c'est un homme, chapitre 2 "le fond"

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paeagraphe : on voit apparaître tout a fait autre chose, on voit une reflexion.

« la demolition d’un homme » on rentre dans la question de l’envie de la demolition de l’homme, on manque de mots pour decrire cela.

Ligne 28-29 : la realite n’existait pas avant d’arrivée au camp, elle leurs apparaît comme ca, d’un coup il y a une revelation;au debut il pense aller travailler comme le montre la devie d’auswitch « le travaille rend libre ». Echo au titre « le fond » ligne 29.

prophete : personne qu’a recu la parole d’un dieu et qui va la precher en son nom.

Le fond evoque l’enfer ; a la fin du premier chapitre levi comprend que ce quils sont en train d vivre va etre l’enfer. Il compare le conducteur du camion a charon celui qui conduit a l’enfer ; il s’agit de l’nefer chretien mais aussi mythique (la divine comedie).

Cette reflexion designe deux choses :

- toucher le fond, se trouver dans une situation extremement negative

- allusion du texte de Dante dans lesquels le poete descend aux enfers et reussi les 7 gradins du purgatoire.

Les deportes apres etre sorti des camps se sentent coupable de ne pas etre mort la-bas.

Hyperbole ligne 31 « plus miserable que la notre » → superlatif absolue

ligne 32 «: » motre que l’on avoir une explication qui est en faite une enumeration « vetements, chaussures,cheveux » on va du concret a l’intime.

Ligne 34 a 40 le sujet de conversation est la parole

ligne 34-36 : cela nous montre que la communication est imposible car ils ne repondent pas → quand il y a plus de paroles il ne reste que la violence

il ne monyre aussi qu’il y a un probleme de langue : les allemands parlent allemand alors que bcp de deportes ne comprennent rien a l’allemand.

Ligne 36-40 : apres la parole, il y a la depocession de leur bien ils doivent courir nus …

et enfin la question du nom, de l’identite → on est defini par notre nom et il va etre remplacer par le tatouage d’un numero (l.70) : une personne n’existe pas sans nom.

« si nous voulons la conserver » forme de resistance avec l’idee de rester des hommes « (…) de ce que nous etions,subsite »

paragraphe 4 :

il s’adresse a nous les lecteurs.

« et il est bon que soit ainsi » il est daccord que tout le monde n’accpete pas ca et c’est tant mieux

ligne 43-47 : il comprend que cette aventure va etre dure mais il l appelle les gens a l’humanite et a la conscience de chacun.

Apres il donne des exemples concrets pour mieux expliquer et etre clair.

Quand il parle de la depocession il dit que meme les choses fde l’intimité sont tres importantes et definissent notre identité et que meme les plus pauvres en possedent.

Le texte apporte a partir d’ici une rethorique a sa facon d’ecrire.

Ligne 51 A 55 : il dit que se sont les supports de la mémoire. C’est pour ca qu’il fait l’analogie entre l’objet et les membres de notre corps a la ligne 50

Cinquieme paragraphe

ligne 56 « qu’on imagine maintenant » , ligne 67 « on comprendra alors » il grade les actions qu’il subit, pour qu’on le comprenne.

« de tout enfin » il estcdans la conviction, il essaye de nous convaincre

ligne 56 a 67 : tres grande phrase ponctue par des points virgules ( periode oratoire : phrases composes et ponstues en trois grandes parties ).

ligne 60-62 « ce sera un homme reduit… dignite » c’est la consequence de tout les choses importantes perdus sur l’etre humain. Adjectis qui montrent la dépossession → tous ces trermes montrent la negation de l’homme a l’interieur de l’homme. Il a perdu le discernement et dignite et sera remplace par la souffrance physique et les besoins vitaux (faim et sommeil).

« : » explication → « car il n’est pas rare… soi-meme » mise en relation de etre et avoir car quand on n’a plus rien on n’est plus personne.

Derniere partie de la phrase « ce sera un homme ... » comme ils ne sont plus rien on pourra decider de sa vie ou de sa mort sans remords sans remises en question. Le deporte n’est plus du tout un homme mais un objet utilitaire dont la mort n’est pas fatal et on peut le tuer sans remise en question

« on comprendra alors » consequence → double sens camp d’extermination : tuer l’individu et l’humanite qui existait jusque la.

Levi a fait une pause pour convaincre le lecteur en quoi tout ce qu’ils ont subi les pousse a ne plus etre des hommes. Avec les trois etapes de cette explication il essaye d’ expliquer les lecteurs qui n’ont pas connu ca, et de convaincre qu’ils n’etaient plus humain.

Dernier paragraphe :

ecriture tres simple.

Ligne 70 :Le mot allemand mis a al’initial montre que c’est un mot choquant et important, les « : » montre que le mot remplace ce qu’il etait avant. Il s’agit du nom officiel pour les deportes. Il n’est plus un homme avec son nom, prenom… mais il devient une categorie.

Cette categoristation montre bien le processus d’indifferation, il n’appartient officiellement plus a l’espece humaine. « j ai appris » il a du integrer ce mot

ligne 71 : apres avoir ete change “d’especes” on le depossede de son nom. Nom abolit et remplace par ce numero.

« nous avons ete baptises » on enleve tout les souvenirs. Les nazis s’accordent un droit incroyable → remplacement d’un nom par un numéro.

73 : la marque est tatouee sur le bras gauche, on ne peut plus l’enlever → indelibile « aussi longtemps que nous vivrons ».

ensuite on revient au recit plus en details

74 a 78 : l’opposition entre la rapidite de l’operation et la durabilite de la marque indelibile du numero.le fait de changer aussi rapidement d’identite n’a pas l’air grave alors que si car il restera toute sa vie voir apres ( grave