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La princesse de Clèves cas

Par   •  15 Avril 2018  •  1 557 Mots (7 Pages)  •  1 523 Vues

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Transition : C’est une vision bien sombre de l’amour qui la fait renoncer à sa passion. En fait c’est madame de la Fayette qui est particulièrement pessimiste.

III le pessimisme de l’auteur

Mme de la Fayette fait partie des moralistes du XVII éme siècle, comme La Fontaine ou Molière.

- La cours est le lieu de l’apparence et de l’intrigue.

- L.22 la jeune femme fait un constat très réaliste « par vanité ou par gout toute les femmes souhaite de vous attacher ». Cette phrase ressemble à une maxime (proverbe) avec l’utilisation du présent de vérité générale (ou présent grammatiques) Ou l’adjectif indéfinité « toute » impliquant qu’il n’y a aucune exception. C’est une règles général à la cour, le plus grand séducteur c’est monsieur de Nemours.

- il y a une rivalité pour avoir monsieur de Nemours comme amant

- Le mot vanité signifie orgueil. Elles veulent être aimé par l’homme le plus séduisant de la cours « Vous êtes né aves toutes les disposition pour la galanterie et toute les qualités que sont propres a y donner des succès heureux » (ligne 17-18). Ces adjectifs montrent qu’il est parfait que rien ne lui manque pour séduire.

- Le verbe vous êtes né est mélioratif car cela montre qu’il est naturellement séduisant, qu’il n’a pas besoin de se forcer.

- La cours est son domaine il a de la chance il est aimé, soit pour se qu’il est (gout), soit paraît être (vanité).

-

Transition : car

- C’est l’obstacle qui fait la passion.

L.11 la jeune femme émet une hypothèse sur la fidélité de son amant. [Elle] croi[t] même que se sont les obstacles. Les obstacles étaient que la princesse de Clèves était mariée et qu’elle attache beaucoup d’importance au regard de la cours. D’une certaine manière c’est se qui attire les hommes, la femme inaccessible est une sort de proie jamais atteinte. La princesse de Clèves a peur que sont amant se lasse si elle lui cède. Elle met en oppositions les actes de Monsieur de Clèves qui lui a « conservait de l’amour dans le mariage » mais elle explique cette fidélité car il avait eu l’intuitions qu’elle ne l’aimait pas comme lui qu’elle avait seulement du respecter a son égard « parce que il n’en avait pas trouvé en [elle] » (ligne10).

Ils se trouvent donc dans une impasse comme en témoigne la dernière phrase (lignes 27-28) : « on fait des reproches à un amant ; mais en fait on a un mari, quand on n’a qu’a lui reprocher de n’avoir plus d’amour ? ». Cette phrase rappelle le poids de la morale et de l’église, ils ne peuvent vivre leurs amours que dans le cadre du mariage.

Il y a peu de chance d’échouer. Cette dernière question oratoire montre qu’elle fait un choix par défaut, elle a peur d’être trompé, de ne plus être aimé et de souffrir.

Conclusion :

Se passage de la 4eme parties de l’œuvre illustre parfaitement sa qualité de roman d’analyse psychologique : l’héroïne aime le duc de Nemours mais elle renonce a lui par culpabilité et fidélité à l’écart de monsieur de Clèves. Elle a également peur du regard de la cours mais elle craint surtout de perde son amant en lui cédant. Elle ne pense pas pouvoirs supporter les affres de la jalousie et de la déception amoureuse.

Elle semble donc être une héroïne tragique partager par le dilemme suivant : soit elle se marie avec soit elle reste au couvent elle ne saura jamais si leur bonheur était possible il y a une incertitude, un éloignement. Quelque soit le choix qu’elle fait elle le perd. Son long monologue s’immobilise l’impasse amoureuse dans la quelle elle se trouve. Cependant madame de Clèves a la grandeur de choisir sa destiné et de l’assumer avec courage jusqu’au bout (c’est une femme de tête).

Cette jeune femme et le symbole de la condition féminine à l’époque classique XVII èmes siècles : c’est pourquoi elle ne dispose pas d’une liberté aussi grande quelle le désirerais. Mais elle annonce par son intelligence et sa force de caractère des femmes qui se révolterons contre la société comme Olympe de Gouges (XVIII) Georges Sand (XIX)

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