Il s'agit de se poser la question ici : "quelles émotions et réactions le théâtre cherche il à provoquer par le spectateur ?

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Ici, l'enfant fasciner par ce qui l'entoure tout est plus beau au théâtre que dans le réel. Il ne cherche pas de référence à son quotidien mais plutôt quelque chose d'inouï, de surnaturel. C'est un peu la même chose pour Anna dans le texte 1 à la ligne 41 quand elle dit "je retournai dans ce palais de féeries et d'enchantements". Il y a cette même fascination dans le texte de Marcel Proust mais pas pour la même raison. Pour lui, les personnages qui entre en scène ne sont pas des acteurs.

Il s'agit pour lui de personnage venu pour réciter et il a l'impression d'être un voyeur qui pénètre dans leur quotidien un jour de leur vie.

- une sensibilité commune

Le théâtre apprend à vivre. Pour le texte 1, Anna vit un vrai bouleversement. Tout son être est concerné : son âme, son coeur. Il y a cette sensibilité qui est évoqué par exemple par une allitération "Tout mon être tressaillit" (allitération en T). L'auteur veut marquer cette sensibilité. Dans le texte 2, l'enfant s'exprime avec beaucoup plus de sensibilité avec "Ah ! c'est bien beau !". Quant au texte 3, de M. Proust, semble craintif face aux réactions que peut ressentir le public.

Ces trois textes nous montrent les différentes fonctions du théâtre et quelles émotions, réactions cherche-t-il à provoquer chez le spectateur.

"que on l'a contraint" = qu'il a été tiré de force"des poignards enfoncé" = des poignards enfoncés"nous montrer" = nous montre"l'enfant fasciner"= l'enfant est fasciné"de personnage venu" = de personnages venues"

Pour la conclusion, tu fais un condensé des trois textes et tu vas dans le sens que le théâtre apporte différentes réactions et a des plusieurs fonctions : instruire, divertir, thérapeutiques etc...