Gobseck, Honoré de Blazac, 1830
Par Ramy • 4 Décembre 2018 • 861 Mots (4 Pages) • 678 Vues
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lignes plus haut comme sombre et humide « Cette maison, qui n’a pas de cour, est humide et sombre » ligne 22. Le mot de la souffrance est repris dans une phrase du texte « La distribution claustrale qui divise le bâtiment en chambres d’égale grandeur, en ne leur laissant d’autre issue qu’un long corridor éclairé par des jours de souffrance » lignes 23-24. Cette phrase montre l’aspect noir de son habitation qui reflète son caractère. Avec cette citation de la ligne 19 : « Car il est impossible d’exprimer autrement le jeu muet de ses muscles. » , je peux aussi affirmer que même quand il connaît des moments de joies, il le montre très peu.
La troisième partie de mon commentaire sera sur l’effet du mécanisme qui est présent dans ce texte. Gobseck fait des journées qui se ressemblent dans son métier étant donné qu’il fait que prêter de l’argent. L’effet du mécanisme est montré à plusieurs endroits dans le texte comme ligne 12 : « Ses actions, depuis l’heure de son lever jusqu’à ses accès de toux le soir, étaient soumises à la régularité d’une pendule. » Gobseck faisait aussi un signe avec ses mains s’il était content de sa journée, ce signe est répétitif puisqu’il le fait tous les jours comme c’est dit ligne 18 : « S’il était content de sa journée, il se frottait les mains en laissant échapper par les rides crevassées de son visage [...]. »
En conclusion, je retiens de ce texte que Gobseck est décrit plus péjorativement que méliorativement. H de Balzac donne une mauvaise image de Gobseck et donc une mauvaise image de l’usurier en général. Dans ce texte il y a aussi beaucoup de comparaisons peu flatteuses et impersonelles. Je peux aussi remarquer que ce n’est qu’a la fin du texte que le personnage est nommé et qu’on le situe comme voisin du narrateur.
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