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DISSERTATION

Par   •  25 Janvier 2018  •  1 954 Mots (8 Pages)  •  444 Vues

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B- Les limites de la mémoire collective

La mémoire collective a certaines limites, on va les voir à travers des lois mémorielles en mettant en question le devoir de mémoire. Il ouvre la connaissance à une possibilité d’avenir.

« Contre l’oubli », En 1978 Serge Klarsfeld un avocat travail sur la recherche de la mémoire du génocide juif pour bien comprendre cette souffrance. Il publie en 1978 un mémorial de la déportation des juifs de France (75 000 morts, 2 500 survivants) et en 1994 le mémorial des enfants juifs de France. Un mémorial c’est un monument, un bâtiment, un lieu, un écrit ou un espace virtuel qui porte le souvenir collectif d’un drame de l’histoire, et qui a pour fonction de réparer l’irréparable. La mémoire est un mécanisme qui nous fait parfois oublier rapidement mais parfois non, être victime d’un massacre comme nous avons vus dans certains pays ça nous bloque et nous empêche d’aller de l’avant et oublier le passé comme le dit Patrick Modiano (doc40p111) il luttait depuis plus de dix ans contre l’oubli qui a été causé par un choc dans sa vie. Ce qui nous montre qu’être victime de n’importe quel évènement troublant peut affecter notre mémoire et nous empêcher d’oublier, la mémoire est le moteur qui nous fait agir. Dans le mémorial de Klarsfeld on peut trouver des adresses, des noms et prénoms des personnes qui on était victime de l’oubli. On trouve des noms d’enfants sans identités, ce qui nous fait mal au cœur pour ces pauvres innocents. Mais certains évoquent le risque d’une concurrence des mémoires selon les communautés nous le dit Pierre Nora.

« La mémoire tyrannique ». Les législateurs imposent une certaine vision au passé, sa empêche les historiens de faire leur métier « histoire ».l’historien justifie chacune de ses réponses en utilisant des arguments. Pierre signe une pétition mais il est contre cette loi mémorielle (doc41p114), s’oppose même à cette loi. Il a que la loi de gayssot première loi et toutes les autres n’ont pas des effets promettant. Pour lui sa confisque la liberté de pensée et ce n’est pas nécessaire parce qu’il a déjà un dispositif juridique et c’est dangereux. Pour l’historien la loi de 1990 a été votée pour protéger les survivants contre l’horreur et ce n’est pas au législateur de favoriser la division de l’histoire. La croisade contre les Albigeois est massacrée, il a eu des horreurs, des guerres de religion, de la terreur. La loi gayssot qui est la première de ces lois sur la mémoire est visée par les législateurs pour reconnaitre des génocides. Cela est inquiétant et ils poussent les historiens, les combattants qui défendent la mémoire à imposer un mémoire tyrannique vis-à-vis de la communauté, ce qui est dangereux pour eux et cela leur donne des confusions, seul les historiens qui peuvent caractériser ces problèmes. «La loi Gayssot fait un signe en faveur de communautés légitimement indignées ».l.31-33 doc.41p114.

« La terreur de la mémoire ». Pour l’écrivain Frédéric Boyer il préfère mettre en garde contre une conception étriquée et dangereuse de la mémoire non pas à un moteur de vie mais un outil de repli mortifère sur soi (doc42p117). Pour lui le fait d’être humain ne procède pas uniquement de nous-même, comme le fait d’être d’une culture, d’une histoire ou d’un seule semblable, mais de l’ensemble des autres. On n’est pas le gardien de la mémoire, elle fait que de parcourir notre esprit. Nous devons nous poser certaines question par rapport à notre vie, nous ne cherchons pas à connaître notre mémoire vivante, mais on reste dans la peur de ne pas pouvoir oublier. « La mémoire est une construction, c’est un muscle, une création, avec des passages, des erreurs, des lapsus des contaminations, des répétitions, des retournements, des réanimations » voilà ce que pense notre écrivain Fréderic Boyer dans son essai.

Nous avons donc constaté que la mémoire collective est quelque chose de fort, d’importent qui peut nous gâcher la vie si on se laisse emporter par nos passé atroce, et nos mauvais souvenir et ne pas pouvoir aller de l’avant ver le présent et futur. Donc ensemble nous pouvons combattre cela et aider nos autres à oublier tous ces horreurs et les effacer de leur mémoire.

Anrafati M’KADARA

BTS AG PME-PMI 1e année

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