Corpus le mendiant, les veuves, la vie antérieure

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« les houles » (vers 5), « les vagues » (vers 11)…

Les thèmes traités dans ce poème sont la vision antique avec « de vastes portiques » (vers 1) et la vision orientale avec l’expression « des cadavres nus » (vers 12).

Ce poème décrit sa vision onirique étant quelque chose de très personnel et intime pour l’auteur avec l’utilisation de la première personne du singulier « c’est là que j’ai vécu » (vers 10), par exemple.

Dans le texte 3, l’auteur de « les Paradis artificiels » fait comme Victor Hugo dans « le Mendiant », il va tenter de faire naître en nous de la compassion et donc donner un effet pathétique à cette femme qui a un enfant a élevé seule, une condition social et économique difficile à vivre « ruiné » (vers 12) « sans ami, sans causeries, sans joie, sans confidents » (vers 41).

Il souhaite nous émouvoir, nous attristé sur son sort. Il nous parle de sa situation épouvantable et les traits pathétiques s’accumulent au fur et à mesure de cette œuvre. Cette battante l’intrigue, le passionne, comment une femme si malheureuse est impassible, résistante telle » une fierté de stoïcienne » (vers 28).

Mais au vers 39, il nous fait sourire avec l’expression « la petite débauche », cette oxymore nous montre que malgré son malheur, elle a quelques moments de plaisir, de distraction, gratuites certes.

A la fin, il va se révolter car il ne comprend pas pourquoi on inflige un tel malheur « que Dieu laissant tomber sur elle, depuis bien des ans peut-être ! » (vers 41-42).

Nous comprenons donc bien que l’auteur dans tous ces textes n’est pas qu’un simple observateur.

Dans le texte 1, Victor Hugo ressent de la tristesse pour ce pauvre homme, il ne connait pas ce mendiant mais l’apprécie déjà.

Dans le texte 2, Baudelaire est à la fois auteur, narrateur et le personnage. Il a un point du vue interne.

Dans le texte 3, Baudelaire n’est peut-être pas le personnage principal mais il a une importance primordiale, il va être le révélateur ainsi que l’interprétateur.

En conclusion, les trois textes de ce corpus ont certes quelques différences comme le genre littéraire mais on principalement des points communs tels que le siècle, le mouvement, ils décrivent tous quelques choses ou quelqu’un, l’écrivain joue un rôle très primordial

L’écrivain veut faire passer des émotions à son lecteur. Ils nous font réfléchir sur les inégalités et sur la vie. Victor Hugo va construire ce poème avec prolixe à l’opposé de Baudelaire qui lui, va faire quelque chose de moins abondant mais pas moins intéressant.