Comment Hugo parvient-il à faire du personnage de Gavriche un symbole du peuple de Paris révolté?

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CCL : Loin de toute description épique et héroïque Céline livre une vision pessimiste et lucide de la guerre. Bardamu s’assume comme antihéros sans courage, homme ordinaire qui revêt une dimension + humaine et + proche de nous. Dénonce la guerre avec un certain recul et humour noir.

TC : Illustration du texte + La condition humaine d’André Malraux

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Philipe Claudel, d’abords prof de français ajd cinéaste et écrivain. LPDML sorti en 2005extrait présente l’incipit du roman, le narrateur nous explique pourquoi le personnage éponyme du roman à quitté son pays.

Plusieurs problématiques possibles.

Partie I : Infos contenues dans cet incipit

- Cadre spatiotemporel

Bateau, décrit sa vie d’avant, durée du voyage

- Personnages éponymes

Infos sur son âge, consonance asiatique de son prénom, seul, situation d’exile, pas de mystère sur le contenu de la valise, perso perdu considéré comme une marionnette. Désorienté, docile, infos sur sa parenté : toute sa famille est morte

- Description des réfugiés + opposition pays d’origine/ accueil

Réfugiés= foule anonyme, métaphore déshumanisante (frêles statues) nostalgie de leur ancienne terre

Transition : infos sur le temps, l’espace, le perso, mais infos non comblées, le mystère englobe la scène

Partie II : Mystère qui enveloppe cette scène

- Imprécisions, perte de repères, lenteur

Pays d’origine ? D’accueil ? Guerre ? C’est au lecteur de combler les trous. Pas bcp d’action, très répétitives. Présent utilisé= scène hors du temps, ralentie le rythme= silence post traumatique de la guerre

- Brouillages des focalisations et effet produits

On passe d’un pdv omniscient, interne et interne. Perso mystérieux mais l’on sait qu’il est triste et mélancolique grâce à l’ambiance de la scène

Transition : scène à caractère cinématographique, aspect figé. Lien empathique avec le perso.

Partie III : Indices pour la suite et dimensions symboliques

- Interpréter le silence et les points de vue

Silence règne= fatigue de l’exile+ barrière de la langue pour se protéger. Questions se posent= pourquoi l’enfant ne pleur pas ? Pourquoi le lait coule ? Tout s’éclaire à la deuxième lecture. Narrateur ne joue pas entièrement son rôle pour qu’on ne porte pas de jugement hâtif.

- Portée universelle du récit

Sorte d’apologue adressé à tous les réfugiés =dédicace du livre, mL= figure symbolique de l’exilé déraciné

- Rôle salvateur de la petite fille

Valise + petite fille= importance capitale, présente dès les premières lignes, actes de ML sont motivés par la petite, sa vision lui évoque des souvenirs, renaissance pour le vieil homme, (2 femmes qui l’aide = sages femmes) belle métaphore

CLL : remplit ses fonctions mais le narrateur brouille volontairement nos repères, pour amener le lecteur à combler ces lacunes informatives.

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Le passé de M Bark.

Situation texte : amitié déjà engagée entre les deux hommes. Ils sont face à la mer-> révélations passées M. Bark qui connait le pays de Linh.

PB : En quoi ce passage est il un message optimiste ?

Partie I : Une confession

- Sentiments de bark : culpabilité physique + émotions submergentes

- Horreur de la guerre : traumatisme Bark, il n’a pas eu le choix + violence

- Quiproquo : Linh comprend pas mais interprète ses émotions/ Pleurs

Partie II : rédemption

- Inversion des rôles

- Vulnérabilité de bark et non de linh

- Vision antimanichéenne de l’homme : possibilité de se racheter. Bark physique de brut

Partie lll : Portée générale du récit

- Apologue, anonymat des lieux, on ne connait pas leurs noms

- Evolution : douleur à espoir, vision symbolique-> 2 persos que tout oppose mais FRATERNITE

CCL : vision optimiste avec rédemption.

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Le loup et le chien

J de la fontaine : classicisme qui respecte placere/docere + fabuliste apologue argumentation indirecte-> but didactique/ morale avec utilisation d’allégorie pour éviter la censure

Situation du texte : Rencontre entre un chien et un loup qui dialoguent autour de la question de la liberté.