Nourrir les hommes...
Par Plum05 • 12 Juin 2018 • 1 886 Mots (8 Pages) • 581 Vues
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exemple le Japon qui est un petit producteur agricole ne pouvant nourrir sa population que par des importations qu’il finance par ses performances en matières industrielle et de service marchand.
Un autre pays comme les États-Unis ressemble mais seulement en partie au Brésil puisque c’est un grand producteur et exportateur agricole comme le Brésil mais il arrive à nourrir toute sa population contrairement au Brésil.
Un autre pays ressemble en partie au Brésil c’est le Burundi qui n’arrive pas à nourrir toute sa population mais à la différence du Brésil qui n’est pas un grand producteur agricole.
Conclusion: La situation du Brésil en matière de sécurité alimentaire ne ressemble pas à celle des pays du nord qui nourrissent toutes leur population ou presque même lorsque leur agriculture n’est pas performante. A l’inverse la situation du Brésil ressemble à celle des pays du sud qui n’arrive jamais à nourrir toute leur population même lorsque leur agriculture est performante. Ce qui s’explique en grande partie car les dirigeants des pays du sud sont souvent très égoïste et ne se préoccupent pas du sort des plus pauvres.
II-3 Quelles solutions peuvent être envisagé pour rendre l’agriculture plus performante, mieux répartir les ressources et mieux préserver l’environnement?
II-3-1 Le cas du Brésil
Agrandir l’espace cultivable par le défrichement (ou déforestation) notamment en Amazonie et Centre-ouest. Ce qui est d’autant plus facile que le Brésil est un pays géant de 8,5 de kilomètres au carré et que beaucoup de paysans restent sans terre alors qu’ils en veulent une mais la terre ainsi obtenu perd très vite sa fertilité car soient les sols sont lessivés par les pluies abondantes, soient ils sont arrachés, soient une couche de latérite apparaît qui est incultivable. A cela s’ajoute la perte d’une richesse naturelle irremplaçable, la forêt dense par la richesse de sa diversité d’espèces vivantes.
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Intensifier les cultures de manière a produire d’avantage par hectares grâce à plus de machines et des variétés et des espèces mieux sélectionnés également grâce à plus d’intrants (engrais, produit de traitement...) mais il y a des inconvénients tout ceci augmente la pollution de l’air, des sols, de l’eau et diminue la qualité des produits.
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Utilisation d’OGM qui permettent d’augmenter les rendements, de diminuer les traitements et de rendre les plantes plus résistantes mais cela a des risques pour la santé des hommes, des risques pour la santé des animaux, des risques pour les espèces végétales.
Réduire des inégalités sociales en matière alimentaire en donnant aux plus pauvres les moyens d’accéder à la nourriture par exemple le président Lula en 2003 à distribuer de la nourriture à tout les habitants des bidonvilles qui acceptait de nettoyer leur bidonville grâce au programme «fin zéro» mais certains reproches à ce programme d’être trop coûteux, trop chères.
Conclusion: Quatre solutions complémentaires ont étaient utilisés au Brésil pour essayer de produire davantage, mieux répartir la nourriture obtenu, mais pas préserver l’environnement.
II-3-2 Le cas du Brésil est il isolé dans le monde?
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Comme au brésil on peut trouver:
Premièrement, un front pionné c’est à dire des défrichement massif et continue par exemple en chine de 1980 à 2005 des surfaces cultivés dans le monde ont
augmentés de 4.5%.
Deuxièmement, bien des pays utilisent des OGM comme les Etats-Unis qui représentent plus de la moitié des surfaces cultivés en OGM dans le monde alors que le Brésil représente 13/7 de ces surfaces. Dans le monde en 2OO9 on trouve d’ailleurs plus de 134 millions d’hectares où sont cultivés des OGM. Remarque les OGM sont l’innovation agricole qui s’est répande aussi rapidement dans l’histoire puisque les OGM sont apparus depuis les années 80.
Troisièmement, des pays comme l’Inde ou la chine on réussi à intensifier les cultures grâce à la «révolution verte» qui à utilisé beaucoup d’intrants et aussi une variété de riz «miracle» car il produit beaucoup depuis les années 80. A l’échelle mondiale depuis 1980 90% des trois milliards de personnes qui ont été nourrit en plus des autres l’ont été grâce à l’intensification des cultures.
Quatrièmement, des aides sont données aux plus pauvres à l’échelle mondiale pour pouvoir se nourrir par exemple une organisation spécialisé de l’ONU la FAO et des associations (ONG) comme action contre la faim distribue de la nourriture ou mettent en place des actions pour améliorer l’agriculture locale.
D’autres solutions peut être développé à la différence du brésil par exemple (2 page 65) la mise en place d’une agriculture plus soucieuse de respecter l’environnement par exemple qui essaye de réduire le volume des intrants utilisés, qui essaye de réduire le nombre de machines utilisés (l’agriculture bio n’utilise pas d’intrants et pas de machines, l’agriculture raisonné qui utilise le moins possible d’intrants et de machines tout en essayant de rester compétitive et productive)
Une autre solution mise en place qui n’existe pas au brésil est la modification de l’alimentation humaine avec moins de viande, moins de sucres, plus de légumes, plus de céréales parfois des insectes.
Enfin se pose le problème de la gouvernance dans certains pays par exemple avec le même climat la population de Corée du nord n’arrivent pas à se nourrir ou importer de la nourriture alors que la population de Corée du sud ne souffrent pas de la faim.
Conclusion: Les solutions trouvés au Brésil pour mieux répartir la production, pour augmenter la production se retrouvent ailleurs dans le monde avec les mêmes effets positifs et négatifs. Mais d’autres solutions ont été aussi mise en place comme essayer de faire une agriculture plus durable, essayer de modifier la consommation alimentaire ce qui est assez long et difficile sachant que les habitudes sont très difficile à modifier. Au final nul part dans le monde on ne pratique une agriculture véritablement durable et
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