Note De Lecture : Les raisons du paysage, De la Chine antiques aux environnement de synthèse Augustin Berque, 1995

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une jouissance purement esthétique qui est d’abord reservé à une élite cultivé.

Dans la série de ces trois chapitres qui vont montrer l’évolution de la notion du paysage Augustin Berque va montrer dans son avant dernier chapitre l’apparition de la conscience du paysage en Europe au 17eme siècle ce qui peux sembler assez tardif du fait qu’il ne faut pas attendre aussi longtemps pour apercevoir des représentations picturales de « paysage » mais ce n’est qu ’avec l’acceptation de la science comme vérité universelle et des grandes avancés scientifique de l’époque (Galilée, Newton, Descartes, ...) que les quatres critères vont êtres assemblés et créer une véritable conscience du paysage. Berque va notament prendre l’exemple de la perspective et va montrer que cette invention va permettre de créer une véritable différenciation entre le sujet et l’objet et qui est la base même du systéme occidental aujourd’hui dominant.

Dans Un dernier temps, Augustin Berque va traiter de la limite de la vision qui sépare le sujet de l’objet qui a fait la force du système européen au 17eme siècle mais qui justement au 20éme siècle va s’essoufler et montrer ses défauts. Il y montre un Le Corbusier comme un fils excessif de Descartes et de sa pensée. Ainsi il montre qu’en gardant le système cartésien on ne peux que développer des villes nouvelles inadapté à l’homme dont l’unique but est de se focaliser sur la science et va y analyser la crise environnementale actuelle pour montrer que la disparition et le mélange chaotique des cultures ne fait que perdre l’ordre de pensée et des paysans. Ainsi les « raisons du paysage » ne sont pas simplement reprendre les constructions culturelles du concept mais aussi de reprendre une étique des pratiques paysagères. Malgré tout en tant qu’architecte on peux voir un ceratin problème dans l’exemple de Le Corbusier notament lorsqu’il parlede cette idée que quelque soit le lieu la construction sera la même. Or si il est vrai que les construction de Le Corbusier ayant pourtant pour but de faire ressortir un côté humain aux grands ensembles ne les rends que plus insensibles et ils ne deviennent que des machines à habiter mais il reste très ouvert à une vision de l’environnement qui porte une place importante dans ses créations.Les malaises que créent cette dérive du système actuel que décrit Berque sont principalement montrés par les artistes mais aussi plus simplement à travers l’engouement pour le jardinnage et la volonté de ce créer un espace personnel dans lequel on se sent bien.

On peux donc en conclure qu’augustin Berque cherche à promouvoir une nouvelle vision plus humaine et moins scientifique pour créer une nouvelle « étique environnementale ».Le paysage n’est donc qu’un moyen d’accomplissement de la « médiance ».