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Mobilité des facteurs et logiques de la mondialisation productive

Par   •  20 Août 2018  •  4 570 Mots (19 Pages)  •  592 Vues

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des IDE. R-U perd son leadership.

Où vont les IDE (pays d’accueil) ? Modif => PED 30 % stock IDE. Flux>> PD, zones privilégiées des IDE7 secteur de + en + biens manufacturés

Quelles stratégies sous-tendent les IDE ? FTN stratégies de marché=> 1960 : stratégies de rationalisation de la production8.

IDE se déploient majoritairement dans le secteur secondaire( 45 % 1970)

C. Les IDE dans la « seconde mondialisation »

C1980 flux d’IDE s’accélèrent. 2ND M => l’internationalisation de la production progresse + que commerce mdial.

Ajd 110 000 entreprises transnationales. FTN = 1/4 PIB mondial, 82 millions de salariés.

D’où viennent les IDE (pays d’origine) ? PD : US, EU, JAP. fin 1970, pays EU + JAP tendent à s’affirmer de plus en plus en matière d’internationalisation du système productif. 1980-1990= essor FTN originaires des Nouveaux Pays Industrialisés Asiatiques (NPIA), des BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine). =>diversification des pays d’origine..

Où vont les IDE (pays d’accueil) ? 1990 flux à destination des PED s’accroissent= hausse de la part des pays en développement dans les flux entrants d’IDE. Chine 2e rang destinataire de l’IDE.

-Régions émergentes tq Asie de l’Est/SE +Amérique latine, connaissaient une forte croissance de leurs entrées d’IDE. Au sein des PED, une poignée de pays reçoit la moitié environ des IDE : la Chine, Brésil.

- US 1er investisseur mdial des IDE, même si ce stock tend à décroître

stratégies IDE : 2Nd M : firmes dvp « stratégies globales » , typologie de W. Andreff9.

Tertiarisation de l’IDE massive et durable10=> part des services dans le stock d’IDE dépasse 60%.

Remarque : Part filiales étrangères ds PIB mdial=11 %. La production internationale des FTN a continué de croître à rythme soutenu. BRICS = tjrs pcipale source d’IDE parmi les pays émergents investisseurs.

II. Quelles stratégies pour les firmes transnationales ?

A. Des stratégies « banales » aux stratégies « globales »

Xxes : stratégie d’approvisionnement.

=> implantations à l’étranger. But : approvisionner la société mère en ressources naturelles=>IDE vertical.

Xxème :stratégies de marché. But : prolonger l’activité d’exportation par une production sur le marché étranger. Les « filiales relais » produisent les mêmes produits que ceux de la société mère auxquels ils se substituent=>IDE horizontal, créer filiales produisent biens identiques.

1960 :stratégies de rationalisation de la production. Des « filiales ateliers » produisent les composants des produits de la société mère et les exportent vers le pays d’origine ou vers des filiales localisées dans d’autres pays. =opérations de production « segmentables »=décomposition internationale du processus productif (DIPP). La DIPP entraîne une flexibilité accrue de localisation des FTN ;=>> délocalisations+relocalisations de filiales. On assiste avec le développement de la DIPP à une « flexibilisation accrue de la localisation »11 des FTN.

1980 : FTN intègrent paramètres de localisation : stratégie de marché,rationalisation de la production.

FTN > Globalisent strat à tte la planète. Recherche de rentabilité maximale traduite par la recherche d’économies d’échelles afin d’accroître le taux de rentabilité. Or, ces économies d’échelle induisent pour la firme d’atteindre une taille critique, qui va être possible par des opérations de fusions internationales.

IDE horizontaux > accroitre taille du groupe pour créer effets de synergie.

IDE verticaux>benef des économies d’échelle car production de chaque composant du produit peut être centralisée dans une unité unique12.

> stratégie globale aussi industrielle et commerciale, d’approvisionnement, de marché et de rationalisation de la production.

B. Le développement des chaînes de valeur mondiales (CVM), le « commerce de tâches » et la « courbe du sourire »

2ND M =>commerce mondial + IDE s’organisent autour des chaînes de valeur mondiales (CVM).

chaîne de valeur mondiale = « l’ensemble des activités menées par les entreprises pour mettre un produit sur le marché, depuis sa conception jusqu’à son utilisation finale ».13

MEP 1980 par Michael Porter. Selon lui, chaque activité nécessaire à la réalisation d’un produit permet d’ajouter de la valeur à ce produit > contribuer à l’avantage concurrentiel de la firme. ( ex d’ac : le marketing, la distribution). Les CVM réa par 1 ENT c’est possible . « CVM coordonnées par des sociétés transnationales sont à l’origine d’environ 80 % du commerce mondial »14.

Explication émergence CVM: les PT et la libéralisation des échanges( réduc obstacles aux échgs => baisse coûts et de l’investissement( infrastructures=> baisse coûts car prod organisée ds plrs endroits).

L’ « éclatement » des CVM s’opère entre la nécessité de réaliser ou faire réaliser à l’étranger des étapes de la chaîne de valeur et celle de conserver une partie de la chaîne de valeur dans le pays d’origine de la firme ( ex Look (qui fabrique des vélo haut de gamme) pour le Look 795 Aerolight montre, que si cette firme fait fabriquer les cadres du vélo en Tunisie, elle a recourt par ailleurs quasi exclusivement à des intrants « made in France » et réalise des tâches d’assemblage et de montage en France15.)

La délocalisation des activités de fabrication et d’assemblage vers économies à bas salaires = baisse des coûts sur ce segment des chaînes de valeurs mondiales.

Le commerce le long de la chaîne de valeur offre, en effet, à des pays la possibilité d’exploiter leurs avantages comparatifs sans avoir à développer des industries intégrées qui fournissent les biens intermédiaires nécessaires aux producteurs de biens finis.

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