La déclaration d'indépendance américaine.
Par Plum05 • 14 Juin 2018 • 816 Mots (4 Pages) • 393 Vues
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L’introduction et la conclusion : la première mise en pratique des idées des lumières
Thomas Jefferson, rédacteur principal de la déclaration d’indépendance américaine et influencé par des écrivains des lumières tels que John Locke, s’appuie sur les concepts développés par ce courant fasse à cette nécessité que represente l’indépendance (a) avec lesquels lui et tous les autres pères fondateurs sont près à mener leur pays.
a) Les lumières comme guide face à l’urgence
« lorsque, [. . .] il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l’ont attaché à un autre » Dans les contexte de l’écriture de ces mots, L’Angleterre a imposé aux colons ce que ceux-ci appellent « les lois intolérables ». Sous leur vrai nom de « Punitive acts » cette séries de lois promulguées par le parlement anglais en 1774 à la suite de l’incident de la « Boston tea party ». Ces lois entraînent la fin de l’élection du conseil par les peuples, ils sont désormais choisi par le rois et les officiers par le gouverneur qui peuvent par une seconde loi renvoyer les procès en Angleterre. Enfin, tout bâtiment inoccupé peut être réquisitionné pour l’armée et les américains n’ont plus le droit de se réunir. Quelques mois seulement avant l’ouverture du deuxième congrès au cours duquel ce texte fut rédigé le premier conflit armé opposant colons et militaires anglais éclatait. Les rédacteurs de cette déclaration travaillent donc dans l’urgence, ils font fis de l’interdiction de se réunir afin de faire ce qui peur semble la premières des nécessitées : s’affranchir de la Grande Bretagne pour acquérir leur indépendance totale .
Par « respect » envers le pays qu’ils souhaitent quitter, ils « s’obligent à déclarer les causes qui déterminent [leur peuple] à la séparation ». Ainsi s’appuient-ils sont les idées des lumières au sein du paragraphe suivant. La déclaration d’indépendance est le
b) Des hommes d’honneur près à mener le peuple libre.
II) Diaboliser l’adversaire pour se valoriser soi
a) Le roi Georges III, un terrible tyran
b) Le peuple libre, qui a tempté si longtemps de rester auprès de son roi
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