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La Pampa Argentine, Jules Huret

Par   •  22 Août 2018  •  1 400 Mots (6 Pages)  •  366 Vues

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L’auteur évoque dans son roman, les différentes raisons qui permettent ce développement en les décrivant de la ligne vingt six à la ligne vingt neuf.

- De nouvelles structures.

En investissant à l’étranger, l’Argentine à pu développer ses infrastructures pour permettre de faciliter son développement. Ils mettent en place un réseaux ferroviaires, un aménagement portuaire permettant d’accéder et d’ouvrir les portes au monde. Ces infrastructures permettent l’acheminement de ces ressources de l’intérieur vers la côte pour répondre à la demande l’Amérique du Nord mais aussi de l’Europe.

De nouvelles techniques sont développées avec des innovations étonnante permettant de se distinguer des autres pays exportateur avec l’arrivé du premier bateau frigorifique dans le port de Buenos aires dans les années 1870-1880.

c) Importation de bovins pur sang.

Une forte demande de viande et de matière première venant de l’Europe. Avant l’exportation de pur sang européen, les argentins ne détenaient que des races de bovins de qualité assez moyenne. Lors des vagues d’immigration, nombreux ont ramenés des bêtes afin de développer et de reproduire des races de bovins nobles. Les producteurs décidèrent d’importer des troupeaux de Shorthorn, puis des vaches de races Hereford et Aberdeen Angus.

L’argentine détient des pâturages idéaux contrairement aux Anglais ou les français comme l’évoque l’auteur dans les lignes vingt trois à vingt quatre, la qualité et la production est bien plus favorable en argentine qu’en Europe qui plus hostile à ce type d’élevage.

III. « Le Grenier de l’Europe »

- L’argentine, le producteur de l’Europe.

Le pays se centre sur la culture massive de céréales comme le blé à la ligne trois, mais aussi dans l’élevage et la reproduction à la ligne dix, avec la création de nombreuse fermes.

La population ne fait que de s’accroitre avec un essor démographique, ce qui permet son titre de producteur de l’Europe et de l’Amérique.

Cette exportation permet ainsi à la population européenne de détenir des produits de qualité, en grosse quantité ce qui permet ainsi de réduire les prix, la viande devient alors moins rare et permet ainsi d’être accessible à tous, même aux classes sociales moyennes, pauvres, comme nous l’affirme l’auteur dans les lignes quarante six à quarante huit

b) Buenos Aires

Buenos aires est une ville idéalement bien placé, avec de nombreux atouts économique. C’est la capitale de l’Argentine, elle à un port ouvert au monde, détient un réseaux ferroviaire très bien développé et c’est un ville avec une vallée immense non habitée et favorable à l’agriculture.

Plusieurs catégories d’élevages et d’agricultures : culture céréalières et élevage.

l. 13 : L’agriculture + Elevage

l.14 : Reproduction des animaux

l.16 : vente de produit fabriqué mais encore peu développé

Buenos aires permet ainsi d’accroître sa richesse et d’entrainer avec elle l’agriculture et d’autres secteurs de l’économie permettant sa réussite au début du XXème siècle.

c) Une économie orienté vers l’exportation

Une économie orientée vers l’exportation de matière première et de produit agricole. Il met en place le système de la production en masse, encore peu connu en Europe.

Des entreprises argentines permettent de mettre en place un système économique organisé et stable ayant pour objectif d’exporter à l’étranger, comme dans les lignes vingt quatre à vingt cinq.

Les gouvernement argentins et européens mettent en place un accord, mais il est encore hostile pour beaucoup de pays comme la France, qui n’acceptent pas l’idée qu’un pays d’un continent voisin, anciennement colonisé, puissent les concurrencer. Contrairement au Royaume-Unis, qui lui à accepté cet accord qui lui permet aussi d’avoir de nombreux avantages économiques mais aussi politiques à la ligne quarante jusqu’a la ligne quarante huit.

L’argentine devient alors une des puissances les plus importante du début du XXème siècle et se place à la troisième position de puissance mondiale sur l’agriculture grâce à une entente et un accord économique entre plusieurs puissances, permettant ainsi d’unifier le monde pour le rendre plus fort mais aussi plus stable tout en gardant le contrôle sur les pays de l’Amérique latine.

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