Regards croisés entre Blancs et Noirs en Afrique du Sud.

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- Cette extrait d´un texte explique que l´homme noir se sent toujours inférieur à l´homme blanc.

- POST APARTHEID

- Après la chutte de l’Apartheid, les noirs ont obtenu les même droits que les blancs. Ils ont donc eu le droit de voter aux élections suivantes. Celles-ci ont été gagnées par Nelson Mandela, personnage emblématique de la lutte pour les droits des noirs en Afrique du Sud. Même si celui-ci a lutté pour l’égalité et a pardonné aux blancs, ils sont encore discriminés dans ce pays, les bons établissements scolaires sont principalement remplis d’élèves blancs et l’élite de la société est principalement restée blanche.

“Dans l'ère post-apartheid de la nation «arc-en-ciel», les Blancs sont victimes de discriminations.”

— Témoignage de David Goldblatt, photographe anglophone sud-africain, à propos defermiers afrikaners, au début des années 1960 (Le Monde du 6 juillet 2006)

« Ils étaient racistes, très attachés à la terre, et généreux. Envers les Noirs aussi. J’ai vu une famille dans son jardin qui fabriquait un cercueil pour la bonne noire. Mon entourage de gauche n’aurait pas passé un samedi après-midi à faire ça ; ils auraient donné de l’argent à la famille. Mais tout en construisant le cercueil, ils faisaient des blagues pour savoir si la bonne allait rentrer dedans. S’il fallait couper les jambes pour que ça tienne. C’est une contradiction qui dit notre histoire. »

- Par le passé, Zelda la Grange l’assistante personnelle de Nelson Mandela a raconté, dans des interviews qu’elle rencontrait parfois au sein de sa communauté afrikaner, qu’on lui disait qu’elle était "au service d’un homme noir", et l’incrédulité de personnalités de tous horizons, devant la profondeur du lien entre cette jeune afrikaner et l’un des hommes des plus adulés au monde.

- Il est intéressant de noter que les journalistes noirs qui rapportent la corruption des blancs sont sévèrement réprimandés par les autorités, qui les accusent d’être des “whites’ lackeys” etc.

- Il y a incontestablement un grande malaise chez les blancs. Ils sont déjà nombreux à partir et bien plus encore envisagent également de s´en aller. Le “black rule” combiné à une discrimination positive fait que de nombreux blancs estiment qu’il n’y a pas d’avenir pour eux ici. En même temps, il n´y a aucun doute que les blancs vont continuer à dominer l’économie dans un avenir prévisible. Le cas du Zimbabwe est instructif : en dépit d’une population blanche encore plus petite et d’un gouvernement noir menaçant constamment les intérêts des blancs, il y a comme un refrain incessant de plaintes disant à faire quelque chose contre “le contrôle des blancs” sur l’économie, 18 ans après l’indépendance !

- La Cosatu a déjà fait accepter un projet de loi sur le marché du travail très favorable aux employés et défavorable aux employeurs, ainsi que des lois de discrimination positive obligeant pratiquement les entreprises à accroître l’emploi des noirs à tous les niveaux.

Les blancs n'ont souvent qu'une seule phrase à répondre à leurs compatriotes noirs : " Ce pays nous appartient aussi, comprenez-le !".

Définitions:

- Cosatu: En anglais Congress of South African Trade Unions c´est l´union des syndicats Sud-Africain

- Conclusion

Avec toute les informations que nous avons on peut conclure que depuis l´époque coloniale , vers 1487 lors de l´arriver de Bartolomé Diaz les noirs on été considéré inférieurs par les blancs mais aussi par eux même. Les blancs leurs on juste apporter des maladies et des conflits et ils se considéré quand même supérieurs aux noirs. Vu que les noirs n´étaient pas préparés pour l´arrivée des blancs, ils étaient désarmés et pas aussi développes qu’eux, et la seul chose que les blancs ont pensé à faire avec eux fut de les soumettre à son autorité. Cela a durée plus de quatre siècles jusqu´à l´abolition de l´esclavage en 1833. Même si les noirs n´étaient plus esclaves leur objectifs étaient d´avoir les même droit que les blancs,chose qui n´existaient pas car ils n´avaient pas le droit de vote ou par exemples n´avaient pas accès au bus ou aux plages qui étaient strictement réservées au blancs. Ce ne sera que lors de l'abolition de l´Apartheid le 30 juin 1991 où ils auront le droit de voter aux élections suivantes. Le vainqueur Nelson Mandela qui avec surprise pour tout le monde ne garda pas de rancoeur pour les blancs et essayera de maintenir l´égalité qui n'existait pas auparavant. Depuis on observe qu´il existe une certaine discrimination envers les blancs même si ceux-ci continue à être l´élite sociale et économique. Certains blancs on décidé de partir car il y avait un certain inconfort .On peut donc dire que les rôle se sont inversés, les noirs on réussi a prendre le dessus.

Aleix.E, Rosendo.M, Bruno.K, Hugo.R.