La sagesse benit

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ou exposés ;

 Nettoyer soigneusement et désinfecté les locaux ;

 Respecter un délai de vingt-un (21) jours avant renouvellement de l’effectif.

 Vacciner autour du foyer avec un vaccin vivant ou attenue disponible.

 La pasteurellose ovaire

 Symptômes : congestion de la crête et des barbillons diarrhée profuse jaune à tendance hémorragique, la respiration est bruyante ; boiterie ; œdème oculaire, de la crête et des barbillons.

 Mode de transmission : par l’alimentation ; l’eau ; les sécrétions.

Contrairement à la maladie de new Castle il existe un traitement en cas d’apparition de la maladie :

 Sulfamides : dans eau de boisson 2g/l

 Tétracycline : 2g/l dans l’eau de boisson.

Néanmoins, signalons que les oiseaux même guéris restent porteurs de germe d’où il faut :

-éliminer tous les oiseaux ; désinfecter les locaux ; repeuplement possible 30 jours après la mise en œuvre de toutes ces mesures.

 Verminose aviaire

 Symptômes : accumulation d’aliments dans le jagot, dont l’obstruction entraine la mort du sujet, diarrhée avec des graines non digérés, parfois crayeuses (blanc) ou striée de sang, paralysie des membres, amaigrissement

 Mode de transmission : les agents porteurs de parasites sont à l’origine de l’infestation ; il ya aussi des hôtes intermédiaires, comme les insectes ; les crustacés d’eau douces.

 Traitement : mébendazole actif sur les nématodes

Oxibendazole actif sur les ascaridioses et capillasiose.

 Niclosamide actif sur les cestodes.

En prophylaxie sanitaire, nous retiendrons toujours que les règles d’hygiène permettent d’éviter, ces infestations et ou réinfectassions à savoir :

 Hygiène des locaux

 L’hygiène de l’alimentation et de l’abreuvement

 Caccidiose aviaire

 Symptômes : diarrhée hémorragique, perte d’appétit ; refus de boire et de manger ; modification des œufs (coquille fragilisées, coloration jaune)

 Moyens de lutte : traitement avec les sulfamides

 Prophylaxie : salubrité des lieux, qualité de l’aliments, bonnes conditions de vie des sujets.

3. L’hygiène

1. Pourquoi l’hygiène

Parce qu’elle est primordiale dans toute activité. Elle permet d’éviter bon nombre de maladies et aide à une bonne croissance des sujets.

2. L’hygiène de l’habitat et du matériel.

Afin d’assurer une bonne hygiène des locaux, l’éleveur devra s’équiper en : pelles, pioches, radeaux, balais, brouette, sceaux, fourche.

Le poulailler devra être nettoyé au moins deux(02) fois par semaines, sortir l’équipement sans rien laisser enlever les toiles d’araignées, laver le sol avec un désinfectant (eau de javel). L’extérieur du bâtiment sera régulièrement nettoyé et maintenu toujours propre.

 L’hygiène des matériels

Nous avons ici, le matériel existant au sein du poulailler que sont : les mangeoires ; les abreuvoirs, les pondoirs et perchoirs. Ceux-ci doivent être maintenus propres tous les jours en les lavants ou en les nettoyants proprement surtout les mangeoires et abreuvoirs.

Il ya aussi les matériels existant hors du poulailler que sont : pelles ; balais ; brouette ; sceaux ; bottes ; gants ; râteaux… ; à chaque usage, ils doivent être bien nettoyés avant de les ranger.

Il faut souligner que l’éleveur lui-même avant d’accéder au poulailler doit s’assurer qu’il est propre, s’il revient d’un marché, des toilettes ou de la cuisine, il est conseillé qu’il se nettoie avant d’aller au niveau des poulaillers.

 L’hygiène alimentaire

A travers l’hygiène ; l’éleveur exerce une action sur l’animal pour accroître la production et la performance dans l’optique d’assurer une bonne rentabilité de son exploitation. Dans ces conditions les aliments seront :

- De bonne qualité : elle s’obtient par un travail minutieux de la production à la distribution

- Distribuer progressivement l’aliment (ration) de sorte à ne pas provoquer des perturbations dans les fonctions digestives.

- Enfin veillez à ce que l’eau d’abreuvement soit permanente et potable (saine)

V. gestion des exploitations

1. connaitre la structure d’une exploitation avicole

L’exploitation avicole repose sur le système d’élevage c’est-à-dire l’ensemble des techniques et des pratiques nuises en œuvre, pour l’exploiter les ressource disponibles dans un espace donné en vu de réaliser des profits. Les aspecte à prendre en compte sont : accès à l’eau ; surface disponible ; bâtiments ; matériels d’élevage ; distance par rapport au marchés (point de vente) ; axes de communication ; mains d’œuvre familiale, salariée.

2. Maitriser les éléments de base du cout individuel.

 Charges variables

L’achat des volailles reproductrices ; d’aliments, l’entretien des volailles ; les charges d’opérations, et charges extraordinaires (imprévus).

 Charges fixes

Les charges d’administrations (frais de compatibilité, réunion ;…) ; les charges d’infrastructures et d’équipements (bâtiments ; abreuvoirs ; mangeoires….).

 Détermination de la marge bénéficiaire et la rentabilité de chaque cycle.

Une unité avicole est une entreprise agricole qui vend de la volaille et des produits dérivés. Ainsi l’aviculteur doit savoir prévoir les produits à vendre pour couvrir les charges (fixes et variables) ; et aussi équilibrer les recettes et les dépenses ; afin de maximiser la rentabilité économique de sonunité avicole.

Un tableau récapitulant les