Exposé d'Histoire moderne, l'agriculture méditerranéenne
Par Ramy • 21 Août 2018 • 3 912 Mots (16 Pages) • 451 Vues
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Riziculture
La riziculture progresse depuis le MA, apparu dans la première moitié du 15ème siècle dans le Piémont et Lombardie, est cela continue de progresser tout au long du 18ème malgré ce que peut dire l’auteur, « Il a fait détruire des rizières parce que la principale richesse d’un état consiste dans les hommes et qu’il exalte de ses rizières un air très mauvais » (ligne 12 et 15). Il est dit que l’air qu’il en sort est très mauvais, la riziculture étant sur la rive gauche du Pô, très humide correspond à des canaux → AIDE DU ROI → POURTANT DIT QU’IL LES DETRUITS = CONTRADICTION → comme on a pu le voir précédemment mais la région de Vercelli va se spécialiser dans cette production. → GROSSES DEPENSES NOT POUR IRRIG & DRAINAGE
Domination de grands domaines de ce secteur, agriculture de + en + intensive qui a pour conséquence l’expropriation des petits producteurs pour concentrer de grands moyens entre les mains de d’entrepreneurs fortunés. → BESOIN MAIN D’ŒUVRE IMPORTANTE, PLANTE EXIGEANTE EN TRAVAILLE
Soie
C’est le long des rizières que l’on remarque des peupliers et des mûriers, arbre essentiel à l’élevage du vers soie : « Le chemin de Turin à la Vénerie est planté de muriers »,
Il semblerait que le Piémont soit une région particulière apte à la production de soie« Le roi en a fait planté beaucoup » (ligne 1).
L’essor de l’industrie de la soie est récent au début du 18ème si bien qu’il demande de nouveaux flux d’artisans et d’ouvriers si bien qu’en 1701, le règlement du Consulat du commerce invitait « tout étranger qui voudrait établir des négoces et des manufactures [dans l’état] » à s’y rendre sans hésitation car ils jouiraient de tout privilège (dont l’exemption de la loi d’aubaine droit d'origine féodale qui disposait que le seigneur recueillait les biens d'un étranger) et Etienne de Silhouette nous indique ça « Celle qui se manufacture dans le pays en grande quantité, par tous les privilèges qui on était accordé aux manufacturiers étrangers à condition de former des apprentis du pays » (ligne 4 et 5) mais pourtant il y a une ambiguïté dans son discours, ce dernier évoquant une politique plutôt protectionniste « Le roi exclu de ses Etats les étoffes étrangères par les impôts excessif qu’il a établie sur leur entrée » (ligne 9), nous le verrons par la suite.
L’auteur semble montrer que cet essor de
« Autrefois il ne sortait du piémont que pour 12 à 15 cent mille livres de soie et actuellement il en sort pour 6 à 7 millions » l2-3
La soie du Piémont à pour réputation d’être la soie de meilleure qualité du pays : brillante, élastique et robuste font que cette soie est très demandée pour des emplois délicats elle est donc vendue en organsins comme peut le dire l’auteur à la ligne 7 (« Les soies qui vont dans le pays étranger doivent être en organsins »).
- Le commerce, les échanges
A : Echange entre territoire français et piémontais notamment : L’auteur de ce texte parle des problèmes de blé en Sardaigne. Sicile était le grenier à blé de la méditerranée, avec aussi les pouilles mais « Grande disette de blé en Sardaigne » l18 mais ne peut en subvenir à cause de ces conditions météorologiques qui ne permette la navigation.
« N’en n’avait pu tirer de Sicile ni des cotes d’Italie (…) Marseille » l19-22 Donc situation délicate pour le piémont qui ne semble pouvoir s’auto suffire, mais ca situation est peu être moins préoccupante qu’Antibes qui réclamer du blé à Nice qui avait répondu favorablement. Montre donc peut être que la situation dans le royaume de piémont sardaigne était moins délicat qu’en France où Marseille et Antibes était obligé de réquisitionner le peu de blé qu’il avait. Dan le cas inverse, il était resté clément est avait permit à Antibes à travers Nice (appartenant au royaume de Piémont Sardaigne) de subsister à une crise du blé.
Voir carte http://ratatoulha.chez-alice.fr/_genealogie/carte-etats-sardes.jpg. Marseille était donc dans un approvisionnement limité « il en avait acheter un peu à Marseille, mais qu’on ne l’avait pas laissé sortir du port, parce que la ville elle-même était dans le besoin, (…) Marseille ne subsistait guère que du jour à la journée par les tartanes qui y arrivaient continuellement » l.23 Tartane sont des bateaux à voile. Bateau au départ de pêche utilisé notamment en France, Italie du N et Afrique.
Commerce piémontais connais une augmentation = plus importants car réseaux terrestres se développent à partir des A1720 et suivit par la suite fin XVIIIe par Victor Amédée III durant ce siècle.
Commerce aussi pour la soie aussi exportée à l’étranger avec Londres, riz aussi exporté car pas destiné à une clientèle aisé.
Echange aussi avec reste de l’Italie donc comme Sicile même si ici le temps ne l’avait permis, elle essaye donc de ne pas rester fermé sur elle même.
(Si trop court parlé de la monnaie).
B :
Grand tour sorte de voyage initiatique qui est accompli au départ par les jeunes aristocrates anglais puis d’autres nations après. C’est un voyage dans le but de parfaire leur éducation après ou pendant leur étude, aussi un but de voyage de formation et c’est donc pour cela qu’Etienne de Silhouette n’est qu’un jeune homme lors de son périple.
Dans ce grand tour, la péninsule italienne sert de point de référence pour tout les participants du grand tour. On appelle aussi le grand tour voyage d’Italie en référence aux grandes villes qui sont des points phare tels que Rome, Pise, Naples, Sienne et Florence. Turin est aussi une ville qui important car les Français venant en Italie ou même les anglais prennent la route de Turin mais cependant l’histoire et les œuvres dans la ville sont moins conséquente que Rome. Il n’y a donc pas d’itinéraire unique dans ces grands tours.
Etienne de Silhouette est allez plus loin car a aussi voyager en Espagne et au Portugal.
On note aussi que dans sont œuvre deux personnages sont à ces cotés « Je fus à La Vénerie avec mon père et Mr Blondel »l16 même si souvent des tuteurs accompagné les personnes partants en voyage, Mr blondel est un
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